Dans son Laser du lundi publié dans le site Dakaractu, le journaliste et analyste politique, Babacar Justin Ndiaye est revenu sur les raisons de la montée en "puissance" de la plateforme "Aar Li nU book.
" C’est d’autant plus vrai que, dans cette affaire bruyante de contrats pétroliers, le Président Sall et le Maire Sall ne sont pas en face de l’opposition habituelle, mais d’un cartel de forces furieuses fédérant un groupe d’opposants radicaux, des membres de la société civile, des indignés sans couleur politique, des lanceurs d’alertes et des lanceurs…de torpilles. La démonstration est administrée par la plateforme « Aar li niu Bokk » qui a énoncé, consécutivement à la démission du Maire d’Aliou Sall, trois nouvelles exigences", a t-il souligné dans son laser.
Pour lui le Président de la république, l’homme politique Aliou Sall et leurs conseillers respectifs devraient savoir que dans les luttes de ce type, "dès que l’adversaire prend conscience que vous êtes prêts à faire des concessions pour avoir la paix, il repart frénétiquement à l’assaut. Alors, attention au repli qui frise la reculade et à la reculade qui frôle la débandade", t-il averti !
" C’est d’autant plus vrai que, dans cette affaire bruyante de contrats pétroliers, le Président Sall et le Maire Sall ne sont pas en face de l’opposition habituelle, mais d’un cartel de forces furieuses fédérant un groupe d’opposants radicaux, des membres de la société civile, des indignés sans couleur politique, des lanceurs d’alertes et des lanceurs…de torpilles. La démonstration est administrée par la plateforme « Aar li niu Bokk » qui a énoncé, consécutivement à la démission du Maire d’Aliou Sall, trois nouvelles exigences", a t-il souligné dans son laser.
Pour lui le Président de la république, l’homme politique Aliou Sall et leurs conseillers respectifs devraient savoir que dans les luttes de ce type, "dès que l’adversaire prend conscience que vous êtes prêts à faire des concessions pour avoir la paix, il repart frénétiquement à l’assaut. Alors, attention au repli qui frise la reculade et à la reculade qui frôle la débandade", t-il averti !
Sur Aliou Sall qui a juré sur le coran pour prouver son innocence, le journaliste dira que "le Sénégal n’est pas une théocratie à l’image du Vatican, de l’Iran, de l’Arabie Saoudite ou du Tibet d’avant l’annexion par la Chine. Dans une brigade de gendarmerie ou dans un commissariat de police, le Saint Coran ne dispense ni de l’audition ni du procès-verbal. Au demeurant, combien sont les Sénégalais qui racontent des fables ou disent des sornettes ponctuées par des « barké Sérigne Massamba, barké Sérigne Mademba etc."?