Le cadavre d'un jeune ressortissant sierra-léonais a été retrouvé hier matin dans un état de décomposition très avancé, dans le quartier de Naffacounda, situé dans la commune de Kafountine, dans le département de Bignona. Le corps sans vie de la victime, âgée de 29 ans, était suspendu à un arbre et a été découvert par un groupe de jeunes talibés qui se promenaient dans les buissons. « Il était pendu à un arbre », ont précisé nos sources.
« Son nom est Oumar Bangoura. Il n’était pas connu dans le village de Naffacounda. Personne ne sait d’où il vient. Les jeunes talibés qui ont découvert le cadavre accroché à un arbre ont rapidement rebroussé chemin et ont alerté leur maître coranique. Ce dernier s’est aussitôt rendu sur les lieux pour vérifier la véracité des faits rapportés par ses talibés. Après avoir constaté la situation, il a à son tour alerté le délégué du quartier de Naffacounda, qui a contacté immédiatement la gendarmerie et les sapeurs-pompiers », a ajouté nos sources.
Sur place, les enquêteurs de la gendarmerie ont retrouvé des notes laissées par Oumar Bangoura. Ces notes contiennent, entre autres, les numéros de téléphone de ses parents restés en Sierra Leone. « J’ai deux enfants, une sœur et des frères en Sierra Leone », a écrit Oumar Bangoura dans sa note posthume.
Bien que le cadavre ait été retrouvé dans un état de décomposition avancé, son identification n’a pas posé de problème. La thèse de la pendaison ou du suicide, remontant probablement à 2 ou 3 jours, est désormais privilégiée dans cette affaire, selon nos sources.
Le Parquet de Ziguinchor, informé de la découverte, a ordonné l'inhumation du corps. La brigade de gendarmerie de Diouloulou a ouvert une enquête.
« Son nom est Oumar Bangoura. Il n’était pas connu dans le village de Naffacounda. Personne ne sait d’où il vient. Les jeunes talibés qui ont découvert le cadavre accroché à un arbre ont rapidement rebroussé chemin et ont alerté leur maître coranique. Ce dernier s’est aussitôt rendu sur les lieux pour vérifier la véracité des faits rapportés par ses talibés. Après avoir constaté la situation, il a à son tour alerté le délégué du quartier de Naffacounda, qui a contacté immédiatement la gendarmerie et les sapeurs-pompiers », a ajouté nos sources.
Sur place, les enquêteurs de la gendarmerie ont retrouvé des notes laissées par Oumar Bangoura. Ces notes contiennent, entre autres, les numéros de téléphone de ses parents restés en Sierra Leone. « J’ai deux enfants, une sœur et des frères en Sierra Leone », a écrit Oumar Bangoura dans sa note posthume.
Bien que le cadavre ait été retrouvé dans un état de décomposition avancé, son identification n’a pas posé de problème. La thèse de la pendaison ou du suicide, remontant probablement à 2 ou 3 jours, est désormais privilégiée dans cette affaire, selon nos sources.
Le Parquet de Ziguinchor, informé de la découverte, a ordonné l'inhumation du corps. La brigade de gendarmerie de Diouloulou a ouvert une enquête.

