Le départ de 26 membres du Comité directeur du Parti démocratique sénégalais n’est qu’une suite des nombreuses difficultés que vit ce parti. C’est l'avis de l’enseignant-chercheur à l’Ucad, Mamadou Hady Dème, qui souligne que « généralement en Afrique, on assiste à la dislocation des partis après la perte du pouvoir ».
S’exprimant sur la RFM, l’enseignant-chercheur a soutenu que cela est lié « au fonctionnement même de ces partis, selon une personnalisation du pouvoir ».
Se prononçant sur le cas spécifique du Pds, le professeur de droit politique estime que la « la position de Karim Wade est à l’origine des problèmes que vit le Pds. Le mutisme sur sa libération et son mutisme à lui-même, ne facilitent pas les choses ». Et puis, a-t-il ajouté, « Karim Wade ne fait pas l’unanimité au PDS. Des responsables, et non des moindres, sont contre lui. En plus, il y a ce mystère autour de son retour incertain ».
S’exprimant sur la RFM, l’enseignant-chercheur a soutenu que cela est lié « au fonctionnement même de ces partis, selon une personnalisation du pouvoir ».
Se prononçant sur le cas spécifique du Pds, le professeur de droit politique estime que la « la position de Karim Wade est à l’origine des problèmes que vit le Pds. Le mutisme sur sa libération et son mutisme à lui-même, ne facilitent pas les choses ». Et puis, a-t-il ajouté, « Karim Wade ne fait pas l’unanimité au PDS. Des responsables, et non des moindres, sont contre lui. En plus, il y a ce mystère autour de son retour incertain ».