Le comédien Claude Brasseur, qui a marqué des générations en incarnant François Vidocq à la télévision et plusieurs grands rôles au cinéma, dont "Un éléphant ça trompe énormément", est décédé, mardi 22 décembre, à l'âge de 84 ans, a annoncé son agent à l'AFP.
"Claude Brasseur est décédé ce jour dans la paix et la sérénité entouré des siens. Il n'a pas été victime du Covid. Il sera inhumé à Paris dans le respect des règles sanitaires et reposera aux côtés de son père, au cimetière du Père-Lachaise à Paris", a annoncé Elisabeth Tanner, à la tête de l'agence Time Art.
Issu d'une longue lignée de comédiens, fils de Pierre Brasseur et d'Odette Joyeux, et père d'Alexandre, cet acteur au regard vif et au sourire qui le rendait immédiatement sympathique, était populaire et polyvalent, aussi à l'aise dans le film policier que dans la comédie.
Il appréciait autant le cinéma et la télé que le théâtre.
En 1977, il a reçu le César du meilleur acteur dans un second rôle pour la comédie "Un éléphant ça trompe énormément", puis la consécration trois ans plus tard, avec le César du meilleur acteur pour "La guerre des polices".
"Claude Brasseur est décédé ce jour dans la paix et la sérénité entouré des siens. Il n'a pas été victime du Covid. Il sera inhumé à Paris dans le respect des règles sanitaires et reposera aux côtés de son père, au cimetière du Père-Lachaise à Paris", a annoncé Elisabeth Tanner, à la tête de l'agence Time Art.
Issu d'une longue lignée de comédiens, fils de Pierre Brasseur et d'Odette Joyeux, et père d'Alexandre, cet acteur au regard vif et au sourire qui le rendait immédiatement sympathique, était populaire et polyvalent, aussi à l'aise dans le film policier que dans la comédie.
Il appréciait autant le cinéma et la télé que le théâtre.
En 1977, il a reçu le César du meilleur acteur dans un second rôle pour la comédie "Un éléphant ça trompe énormément", puis la consécration trois ans plus tard, avec le César du meilleur acteur pour "La guerre des polices".