Juan Branco, avocat et activiste français, a appelé le Sénégal à soutenir les initiatives internationales en faveur de la Palestine en participant aux procédures auprès de la Cour pénale internationale (CPI) et de la Cour internationale de justice (CIJ). Dans sa déclaration, il a souligné les liens historiques entre les deux peuples et l'importance de la solidarité internationale.
« Le Sénégal devrait se joindre aux procédures devant la CPI et la CIJ concernant la Palestine. Le lien entre ces deux peuples est historique. Lors de ma conférence de presse à Dakar en juillet 2023, j'avais évoqué les enfants de Gaza, alors que leur souffrance était souvent ignorée, comme les alliés naturels de ceux qui, des Gilets Jaunes à la jeunesse de Dakar, luttaient pour défendre leur souveraineté », a déclaré Me Branco.
Il a insisté sur le fait que la solidarité internationale qui s'est manifestée envers les victimes de la répression sénégalaise ne doit pas être oubliée. Selon lui, la diplomatie sénégalaise a un rôle crucial à jouer, et « la réputation de ses femmes et hommes de droit les précède. L'engagement de son peuple pour ses frères a toujours été reconnu ».
Me Branco a également plaidé pour une « purge nécessaire de l'appareil judiciaire, première étape pour restaurer la légitimité de l'État et de ses institutions ». Il considère cette réforme comme essentielle pour permettre le renouveau de la diplomatie sénégalaise, qu'il juge encore « enserrée dans les carcans des régimes précédents ».
« Le Sénégal devrait se joindre aux procédures devant la CPI et la CIJ concernant la Palestine. Le lien entre ces deux peuples est historique. Lors de ma conférence de presse à Dakar en juillet 2023, j'avais évoqué les enfants de Gaza, alors que leur souffrance était souvent ignorée, comme les alliés naturels de ceux qui, des Gilets Jaunes à la jeunesse de Dakar, luttaient pour défendre leur souveraineté », a déclaré Me Branco.
Il a insisté sur le fait que la solidarité internationale qui s'est manifestée envers les victimes de la répression sénégalaise ne doit pas être oubliée. Selon lui, la diplomatie sénégalaise a un rôle crucial à jouer, et « la réputation de ses femmes et hommes de droit les précède. L'engagement de son peuple pour ses frères a toujours été reconnu ».
Me Branco a également plaidé pour une « purge nécessaire de l'appareil judiciaire, première étape pour restaurer la légitimité de l'État et de ses institutions ». Il considère cette réforme comme essentielle pour permettre le renouveau de la diplomatie sénégalaise, qu'il juge encore « enserrée dans les carcans des régimes précédents ».