«En République, quand on ferme les portes du dialogue, on ouvre en même celles de la confrontation ». « Confrontation », le mot est lâché par l’opposition qui estime, qu’après deux ans de dialogue politique, le président de la république Macky Sall a tout bonnement décidé de faire fi de tout acquis démocratique pour des élections sans contestation.
« Nous avons décidé de faire face et d'engager la lutte dans un élan unitaire et solidaire, a lancé Pape Sarr, le secrétaire général du M2D, l'un des mouvements de contestation du Sénégal. Nous demandons par conséquent à nos sympathisants, à nos militants et à toutes les forces vives de la nation à se tenir prêts et à rester à l'écoute des leaders. Très prochainement, les mots d'ordres seront annoncés ».
L’opposition a décidé de saisir les chancelleries religieuses du Sénégal et toute autorité susceptible de faire entendre raison au chef de l’État.
À l’origine principalement des craintes de l’opposition, deux articles dans le projet de code électoral qui écartent de facto toute personne condamnée à des peines avec ou sans sursis supérieures à un mois de toute compétition électorale.
Cela pourrait ainsi être appliqué à Karim Wade, Khalifa Sall, l'ancien maire de Dakar, ou encore l’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye tous condamnés par des juridictions sénégalaises.
RFI
« Nous avons décidé de faire face et d'engager la lutte dans un élan unitaire et solidaire, a lancé Pape Sarr, le secrétaire général du M2D, l'un des mouvements de contestation du Sénégal. Nous demandons par conséquent à nos sympathisants, à nos militants et à toutes les forces vives de la nation à se tenir prêts et à rester à l'écoute des leaders. Très prochainement, les mots d'ordres seront annoncés ».
L’opposition a décidé de saisir les chancelleries religieuses du Sénégal et toute autorité susceptible de faire entendre raison au chef de l’État.
À l’origine principalement des craintes de l’opposition, deux articles dans le projet de code électoral qui écartent de facto toute personne condamnée à des peines avec ou sans sursis supérieures à un mois de toute compétition électorale.
Cela pourrait ainsi être appliqué à Karim Wade, Khalifa Sall, l'ancien maire de Dakar, ou encore l’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye tous condamnés par des juridictions sénégalaises.
RFI