"Moustapha Thioune a démissionné de Leral car il craint pour sa vie à cause des menaces des Pro Sonko. Il ne supporte pas la charge de ces menaces de mort. A travers des SMS, des messages dans les réseaux sociaux et des appels téléphoniques." rapporte le communique dudit site d'information.
Selon toujours le communiqué que revient sur les raisons du départ précipité de Moustapha Thioune, sa famille qui a eu vent de cette affaire l'aurait encouragé à démissionner. "Aujourd'hui, ce sont les journalistes qui sont accusés, insultés et menacés de mort par les partisans de Ousmane Sonko qui pensent pouvoir fermer la bouche et briser les plumes de la presse. "
La direction de Leral.net interpelle le Synpics, le Cored, Reporter sans Frontières, Amnesty International, Afrikajom, Jamra etc... "Tous les journalistes qui osent aller dans le sens contraire des idéaux de Ousmane Sonko sont menacés. Ils sont menacés et attaqués dans l'exercice de leur travail. L’insistance des Pro-Sonko s’intensifie. Mais, Leral, reste constant dans sa quête d’informations pour servir conformément à ses orientations. Menaces ou pas, le travail du Groupe va se poursuivre. L'Etat doit protéger la presse avant que l'irréparable ne se produise."
Selon toujours le communiqué que revient sur les raisons du départ précipité de Moustapha Thioune, sa famille qui a eu vent de cette affaire l'aurait encouragé à démissionner. "Aujourd'hui, ce sont les journalistes qui sont accusés, insultés et menacés de mort par les partisans de Ousmane Sonko qui pensent pouvoir fermer la bouche et briser les plumes de la presse. "
La direction de Leral.net interpelle le Synpics, le Cored, Reporter sans Frontières, Amnesty International, Afrikajom, Jamra etc... "Tous les journalistes qui osent aller dans le sens contraire des idéaux de Ousmane Sonko sont menacés. Ils sont menacés et attaqués dans l'exercice de leur travail. L’insistance des Pro-Sonko s’intensifie. Mais, Leral, reste constant dans sa quête d’informations pour servir conformément à ses orientations. Menaces ou pas, le travail du Groupe va se poursuivre. L'Etat doit protéger la presse avant que l'irréparable ne se produise."