Le plus vieux métier du monde, la prostitution vit des moments sombres avec la pandémie de la Covid-19 qui ne lui aucun espoir de survie. Tant que le couvre feu sévit, et qui est un des facteurs les plus infimes sur son impact.
Kritik affirme que rareté de la clientèle, fermeture des endroits de racolage, suspicion craintes liées à la transmission du virus, crise économique et black-out total sur le Dakar by night, les filles de joie ne savent plus donner du plaisir.
Depuis l'apparition du virus et le calvaire des couvre-feux, abandonnées à leur sort, les prostituées vivent le calvaire et certaines d'entre les belles de nuit reconverties dans le marché diurne ne cachent plus leur désespoir de voir leur métier disparaître, du jour au lendemain.
D'ailleurs, certaines disent même se donner en dette, en attendant la fin du mois...
Kritik affirme que rareté de la clientèle, fermeture des endroits de racolage, suspicion craintes liées à la transmission du virus, crise économique et black-out total sur le Dakar by night, les filles de joie ne savent plus donner du plaisir.
Depuis l'apparition du virus et le calvaire des couvre-feux, abandonnées à leur sort, les prostituées vivent le calvaire et certaines d'entre les belles de nuit reconverties dans le marché diurne ne cachent plus leur désespoir de voir leur métier disparaître, du jour au lendemain.
D'ailleurs, certaines disent même se donner en dette, en attendant la fin du mois...