Escroquerie
Marie Lo, directrice de l'entreprise BALQUIS HOLDING, se retrouve au centre d'une affaire d'escroquerie concernant une somme de 533 millions de FCFA. Présentée ce jour devant le Tribunal correctionnel de Dakar, elle est accusée d'avoir trompé plusieurs investisseurs, en leur promettant des rendements rapides et élevés grâce à des marchés publics supposés. Le parquet a requis une peine de deux ans de prison ferme, demandant au tribunal de la déclarer coupable d'escroquerie. Parmi les victimes figurent plusieurs noms tels qu'Aminata Amar, qui a versé plus de 100 millions de FCFA, et d'autres personnes qui ont également investi de grosses sommes, séduites par les bénéfices rapides promis, rapporte seneweb.
Selon les plaignants, Marie Lo s'est présentée comme une sous-traitante d'un haut fonctionnaire de l'État et a prétendu avoir accès à des projets d'envergure nationale. Grâce à ces arguments et à quelques transactions réussies, elle a gagné leur confiance et les a encouragés à investir davantage. Cependant, alors que le nombre d'investisseurs augmentait et que les montants versés atteignaient des millions de francs CFA, Marie Lo a cessé de tenir ses engagements financiers.
...Le verdict
Lors de l'instruction, elle a admis avoir inventé ces marchés publics et que le projet était fictif. Cependant, elle soutient n'avoir utilisé aucun des fonds pour son bénéfice personnel, affirmant avoir redistribué l'argent collecté entre les investisseurs. Du côté de la défense, ses avocats contestent le délit d’escroquerie et soutiennent qu'il s'agit d'une relation commerciale qui a mal tourné. Ils demandent la requalification des faits, affirmant que Marie Lo a agi avec transparence au début des transactions. Le verdict est attendu pour le 5 décembre, date à laquelle le tribunal décidera si Marie Lo sera condamnée ou si les faits seront requalifiés.
Adji Mergane Kanouté et Pastef
À l’approche des élections législatives anticipées prévues le 17 novembre, l'Union pour le Développement du Sénégal Authentique (UDS/A) a annoncé son soutien officiel à la liste Pastef. Lors d'une réunion de son Secrétariat Exécutif, tenue ce jeudi sous la co-présidence de M. Amadou Oumar Gueye, secrétaire général adjoint du parti, et de M. Abdoulaye Diop, président des sages, le parti a tranché en faveur de cette alliance.
Ce ralliement fait suite à de longues consultations internes ainsi qu’à une rencontre décisive avec le Doyen Alla Kane, président de Maggi Pastef, qui occupe une position honorifique sur la liste conduite par Ousmane Sonko, leader du Pastef. Cette alliance symbolise une convergence des forces politiques, portée par l'estime et le respect mutuels entre les dirigeants de l’UDS/A et du Pastef. Adji Diarra Mergane, Secrétaire Générale de l’UDS/A, a d’ailleurs exprimé son admiration pour le Doyen Alla Kane, une figure emblématique de la gauche sénégalaise, salué pour son engagement et son soutien indéfectible aux valeurs du peuple sénégalais.
Avec ce soutien, l’UDS/A réaffirme sa vision d'un Sénégal respectueux de sa souveraineté et de ses aspirations populaires. Le parti espère que cette collaboration avec le Pastef permettra d'atteindre des objectifs communs en faveur du développement du pays et du bien-être de ses citoyens.
L’UDS/A encourage ses membres à se mobiliser massivement lors des élections législatives du 17 novembre prochain, rappelant que chaque voix contribuera à renforcer un projet de société fondé sur la justice, la souveraineté et la prospérité pour tous les Sénégalais.
Un journaliste convoqué
Après la parution des articles dans le quotidien "Point Actu" sur l’attribution d’un marché de 71 milliards de francs CFA par le ministère de la Santé à la société ACD, le journaliste Lansana Diandy a été convoqué puis auditionné par les éléments de la Division spéciale de la cybersécurité.
Ce mardi 5 octobre, Lansana Diandy, Directeur de Publication du journal "Point Actu" et Vice-Président de la Commission Administration du SYNPICS, a été entendu pendant plusieurs heures par la Direction de la cybercriminalité. Cette convocation fait suite à une plainte déposée après la publication de ses articles. La rédaction de "Point Actu" a réagi en publiant un communiqué relatant les faits.
« Lansana Diandy a déféré à la convocation de la cybercriminalité malgré l'absence de son avocat, Maître Bocar Arfang Ndao, qui n'a pu obtenir le report de l'audition. En citoyen respectueux des institutions de la République, il a néanmoins tenu à se présenter devant les enquêteurs, accompagné de l’administrateur du journal, M. Pédre Ndiaye. Après son audition, M. Diandy est rentré chez lui en début de soirée, mais reste à la disposition des enquêteurs », indique le communiqué.
Que cache le ministère de la Santé ?
La rédaction de "Point Actu" a également apporté des précisions concernant cette affaire : « Dans le cadre de la rédaction de ces articles, nous avons, à plusieurs reprises, sollicité des entretiens avec la plaignante par le biais de ses intermédiaires, afin de trianguler l’information. Malheureusement, nos demandes sont restées sans réponse. En dépit de la plainte, nos colonnes restent ouvertes pour une interview, afin qu’elle puisse fournir sa version des faits. »
Pourquoi le ministère de la Santé refuse-t-il de communiquer ? Selon la rédaction de "Point Actu", « Le traitement de l’information par notre équipe est appuyé par des procédures judiciaires en cours. Tous les articles relatifs à cette affaire sont basés sur des décisions de justice répertoriées, constituant ainsi un contenu journalistique fondé et rigoureux. »
Takku Wallu
Le pire a été évité sur l'axe Kolda - Salikégné, dans la commune rurale de Guiro Yoro Bocar. En effet, sur le chemin du retour, le bus transportant les nombreux militants venus à Kolda pour accueillir la caravane de la coalition nationale Takku Wallu a pris feu. Heureusement, le chauffeur a réussi à arrêter le véhicule à temps, permettant aux passagers de s’échapper sans blessé à déplorer. Le bus, quant à lui, a été entièrement détruit par les flammes. Selon les premières informations, l'incident serait dû à une défaillance électrique. Ces militants, originaires des communes de Guiro Yoro Bocar et de Salikégné, avaient fait le déplacement à Kolda pour accueillir Sidiki Kaba et sa délégation, en campagne pour les Législatives anticipées prévues pour le 17 novembre prochain. Fidèles à la coalition Takku Wallu, ces militants ruraux apportent leur soutien à la campagne, après avoir longtemps été considérés comme le fief du ministre Moussa Baldé, tête de liste départementale de la coalition.
Obama
Dans une déclaration publiée au lendemain des résultats des élections présidentielles américaines, l’ancien président Barack Obama et son épouse Michelle ont adressé leurs félicitations à Donald Trump, élu pour un second mandat à la Maison Blanche, aux côtés de son colistier, le sénateur J.D. Vance. Dans un message empreint de respect pour le processus démocratique, les Obama ont exprimé leur volonté de voir le pays avancer dans l’unité, malgré leurs divergences de vues avec le ticket républicain.
« C’est évidemment un résultat que nous n’espérions pas, compte tenu de nos profonds désaccords avec l’équipe républicaine sur un large éventail de questions », a déclaré Barack Obama. « Mais vivre en démocratie signifie accepter que notre point de vue ne l’emportera pas toujours, et être prêt à accepter la transition pacifique du pouvoir. »
L’ancien président et la première dame ont également rendu hommage à la vice-présidente sortante Kamala Harris et au gouverneur Tim Walz, candidats malheureux du Parti démocrate, qu’ils ont qualifiés de « serviteurs publics extraordinaires » ayant mené une campagne « remarquable ». Michelle Obama a salué l’engagement et le dévouement des bénévoles et du personnel de campagne qui, selon elle, ont œuvré sans relâche pour promouvoir les valeurs de justice et d’inclusion.
Marie Lo, directrice de l'entreprise BALQUIS HOLDING, se retrouve au centre d'une affaire d'escroquerie concernant une somme de 533 millions de FCFA. Présentée ce jour devant le Tribunal correctionnel de Dakar, elle est accusée d'avoir trompé plusieurs investisseurs, en leur promettant des rendements rapides et élevés grâce à des marchés publics supposés. Le parquet a requis une peine de deux ans de prison ferme, demandant au tribunal de la déclarer coupable d'escroquerie. Parmi les victimes figurent plusieurs noms tels qu'Aminata Amar, qui a versé plus de 100 millions de FCFA, et d'autres personnes qui ont également investi de grosses sommes, séduites par les bénéfices rapides promis, rapporte seneweb.
Selon les plaignants, Marie Lo s'est présentée comme une sous-traitante d'un haut fonctionnaire de l'État et a prétendu avoir accès à des projets d'envergure nationale. Grâce à ces arguments et à quelques transactions réussies, elle a gagné leur confiance et les a encouragés à investir davantage. Cependant, alors que le nombre d'investisseurs augmentait et que les montants versés atteignaient des millions de francs CFA, Marie Lo a cessé de tenir ses engagements financiers.
...Le verdict
Lors de l'instruction, elle a admis avoir inventé ces marchés publics et que le projet était fictif. Cependant, elle soutient n'avoir utilisé aucun des fonds pour son bénéfice personnel, affirmant avoir redistribué l'argent collecté entre les investisseurs. Du côté de la défense, ses avocats contestent le délit d’escroquerie et soutiennent qu'il s'agit d'une relation commerciale qui a mal tourné. Ils demandent la requalification des faits, affirmant que Marie Lo a agi avec transparence au début des transactions. Le verdict est attendu pour le 5 décembre, date à laquelle le tribunal décidera si Marie Lo sera condamnée ou si les faits seront requalifiés.
Adji Mergane Kanouté et Pastef
À l’approche des élections législatives anticipées prévues le 17 novembre, l'Union pour le Développement du Sénégal Authentique (UDS/A) a annoncé son soutien officiel à la liste Pastef. Lors d'une réunion de son Secrétariat Exécutif, tenue ce jeudi sous la co-présidence de M. Amadou Oumar Gueye, secrétaire général adjoint du parti, et de M. Abdoulaye Diop, président des sages, le parti a tranché en faveur de cette alliance.
Ce ralliement fait suite à de longues consultations internes ainsi qu’à une rencontre décisive avec le Doyen Alla Kane, président de Maggi Pastef, qui occupe une position honorifique sur la liste conduite par Ousmane Sonko, leader du Pastef. Cette alliance symbolise une convergence des forces politiques, portée par l'estime et le respect mutuels entre les dirigeants de l’UDS/A et du Pastef. Adji Diarra Mergane, Secrétaire Générale de l’UDS/A, a d’ailleurs exprimé son admiration pour le Doyen Alla Kane, une figure emblématique de la gauche sénégalaise, salué pour son engagement et son soutien indéfectible aux valeurs du peuple sénégalais.
Avec ce soutien, l’UDS/A réaffirme sa vision d'un Sénégal respectueux de sa souveraineté et de ses aspirations populaires. Le parti espère que cette collaboration avec le Pastef permettra d'atteindre des objectifs communs en faveur du développement du pays et du bien-être de ses citoyens.
L’UDS/A encourage ses membres à se mobiliser massivement lors des élections législatives du 17 novembre prochain, rappelant que chaque voix contribuera à renforcer un projet de société fondé sur la justice, la souveraineté et la prospérité pour tous les Sénégalais.
Un journaliste convoqué
Après la parution des articles dans le quotidien "Point Actu" sur l’attribution d’un marché de 71 milliards de francs CFA par le ministère de la Santé à la société ACD, le journaliste Lansana Diandy a été convoqué puis auditionné par les éléments de la Division spéciale de la cybersécurité.
Ce mardi 5 octobre, Lansana Diandy, Directeur de Publication du journal "Point Actu" et Vice-Président de la Commission Administration du SYNPICS, a été entendu pendant plusieurs heures par la Direction de la cybercriminalité. Cette convocation fait suite à une plainte déposée après la publication de ses articles. La rédaction de "Point Actu" a réagi en publiant un communiqué relatant les faits.
« Lansana Diandy a déféré à la convocation de la cybercriminalité malgré l'absence de son avocat, Maître Bocar Arfang Ndao, qui n'a pu obtenir le report de l'audition. En citoyen respectueux des institutions de la République, il a néanmoins tenu à se présenter devant les enquêteurs, accompagné de l’administrateur du journal, M. Pédre Ndiaye. Après son audition, M. Diandy est rentré chez lui en début de soirée, mais reste à la disposition des enquêteurs », indique le communiqué.
Que cache le ministère de la Santé ?
La rédaction de "Point Actu" a également apporté des précisions concernant cette affaire : « Dans le cadre de la rédaction de ces articles, nous avons, à plusieurs reprises, sollicité des entretiens avec la plaignante par le biais de ses intermédiaires, afin de trianguler l’information. Malheureusement, nos demandes sont restées sans réponse. En dépit de la plainte, nos colonnes restent ouvertes pour une interview, afin qu’elle puisse fournir sa version des faits. »
Pourquoi le ministère de la Santé refuse-t-il de communiquer ? Selon la rédaction de "Point Actu", « Le traitement de l’information par notre équipe est appuyé par des procédures judiciaires en cours. Tous les articles relatifs à cette affaire sont basés sur des décisions de justice répertoriées, constituant ainsi un contenu journalistique fondé et rigoureux. »
Takku Wallu
Le pire a été évité sur l'axe Kolda - Salikégné, dans la commune rurale de Guiro Yoro Bocar. En effet, sur le chemin du retour, le bus transportant les nombreux militants venus à Kolda pour accueillir la caravane de la coalition nationale Takku Wallu a pris feu. Heureusement, le chauffeur a réussi à arrêter le véhicule à temps, permettant aux passagers de s’échapper sans blessé à déplorer. Le bus, quant à lui, a été entièrement détruit par les flammes. Selon les premières informations, l'incident serait dû à une défaillance électrique. Ces militants, originaires des communes de Guiro Yoro Bocar et de Salikégné, avaient fait le déplacement à Kolda pour accueillir Sidiki Kaba et sa délégation, en campagne pour les Législatives anticipées prévues pour le 17 novembre prochain. Fidèles à la coalition Takku Wallu, ces militants ruraux apportent leur soutien à la campagne, après avoir longtemps été considérés comme le fief du ministre Moussa Baldé, tête de liste départementale de la coalition.
Obama
Dans une déclaration publiée au lendemain des résultats des élections présidentielles américaines, l’ancien président Barack Obama et son épouse Michelle ont adressé leurs félicitations à Donald Trump, élu pour un second mandat à la Maison Blanche, aux côtés de son colistier, le sénateur J.D. Vance. Dans un message empreint de respect pour le processus démocratique, les Obama ont exprimé leur volonté de voir le pays avancer dans l’unité, malgré leurs divergences de vues avec le ticket républicain.
« C’est évidemment un résultat que nous n’espérions pas, compte tenu de nos profonds désaccords avec l’équipe républicaine sur un large éventail de questions », a déclaré Barack Obama. « Mais vivre en démocratie signifie accepter que notre point de vue ne l’emportera pas toujours, et être prêt à accepter la transition pacifique du pouvoir. »
L’ancien président et la première dame ont également rendu hommage à la vice-présidente sortante Kamala Harris et au gouverneur Tim Walz, candidats malheureux du Parti démocrate, qu’ils ont qualifiés de « serviteurs publics extraordinaires » ayant mené une campagne « remarquable ». Michelle Obama a salué l’engagement et le dévouement des bénévoles et du personnel de campagne qui, selon elle, ont œuvré sans relâche pour promouvoir les valeurs de justice et d’inclusion.