Je m'interroge par ce que je n'ai vu aucun d'entre vous partager un commentaire positif ou négatif là- dessus.
Et c'est cela qui m' a inquiété!
Je ne peux pas comprendre que vous tous ayez été indifférents quand il raconte son parcours aux USA, notamment à l'université de Princetone, et ses séjours à l'hôtel Saint James de Paris!
En effet, voilà quelqu'un qui prétend vouloir présider à nos destinées, et qui avoue, sans aucune once de gêne, que c'est un américain qui l'a sélectionné pour avoir pressenti qu'il avait un " destin national", qui l'a placé en "formation à Princetone" dans un domaine réservé à ceux qu'il pense devoir être parmi les élites dirigeantes en Afrique, l'a inscrit dans un " club" de super privilégiés où il fréquente " des hauts gradés de l'Armée Us", et de " grosses fortunes",et par dessous tout, être parrainé par ce " Club" pour obtenir des privilèges de séjour à l'hôtel St James dans le quartier le plus huppé de paris, jouissant de privilèges que ses propres revenus ne peuvent lui permettre.
Voilà donc quelqu'un qui reconnait publiquement qu'il est sous tutelle de puissants groupes influents aux USA et en France, et qui prétend mieux défendre les intérêts de notre peuple et de l'Afrique!
Comment peut on croire qu'il est entretenu par les Américains pour cela?
D'ailleurs, même pour aller à la manifestation organisée par l'opposition contre le parrainage, il reconnaît qu'il y a participé sous la recommandation d'un grand avocat américain!
Comment, vous, mes amis de face, avez vous pu être aussi indifférent devant de tels aveux d'apatride!
Je ne crois pas que vous êtes arrivés au degré zéro d'indignation lorsque je vois les débats auxquels vous contribuez , sans concession aucune, dans mon journal.
Est ce que par ce qu'il est de l'opposition qu'il bénéficie de votre indulgence?
Ce serait très grave!
Indignez vous pour ne pas donner une chance quelconque de présider aux destinées de notre peuple, à des gens comme Idy, que de puissants lobbys américains entretiennent, forment et guident pour y arriver.
Ibrahima Sene