271 élèves encadrés à travers des cours de vacances, 114 enfants sans papier recensés par le Mouvement And Suxali Djidah Thiaroye Koy. Des enfants qui risquent de ne pas aller à l’école que le mouvement prend en charge pour des audiences foraines.
Le développement local passe par les femmes, c’est en tout cas ce qui a été retenu par le Mouvement AND SUXALI DJIDAH, qui à sa tête Dieydi Cissé, un jeune cadre qui travaille pour l’adaptabilité de la vision du Chef de l’Etat au vécu des sénégalais.
Nous ne travaillons pas contre le Gouvernement même si cette zone est un fief de l’opposition, c’est seulement une zone ou le Gouvernement n’a pas crédit et que nous y avons accès.
Comment rester inerte face à des centaines de femmes sans emploi qui attendent que le PIDES (Programme Intégré au Développement Économique et Social) ou la DER (Délégation à l’Entreprenariat Rapide) pointent du nez ;
Comment rester inerte face à des centaines de jeunes qui attendent le secours de la Direction de l’équipement scolaire pour démarrer des cours de vacance en vain ;
Comment rester inerte face des centaines de ménages qui attendent le Ministère de la Santé pour la désinfection du bassin de rétention et la distribution de moustiquaires ;
Comment rester inerte face à des centaines d’enfants en âge d’aller à l’école qui attendent la tenue d’une audience foraine pour espérer obtenir un extrait de naissance.
Ce qui est le plus indignant c’est que le mouvement AND SUXALI DJIDAH en plus d’avoir reçu des promesses des autorités n’a obtenu aucune aide de leur part, ce n’est ni la Direction de l’Equipement scolaire, ni le Ministère de la Santé, ni la DER, ni le PIDES, ni même le Parti, et pourtant, ce sont ces mêmes autorités qui veulent que la banlieue les parraine, il faut apprendre à respecter les sénégalais.
Heureusement, que la base politique et sociale de Djidah Thiaroye Kaw a compris les enjeux et qu’il ne sert à rien de chercher un coupable, même s’il y’a le Sénégal d’en haut et Sénégal d’en bas, elle a organisé grâce à la richesse de son Capital Humain ses propres cours de vacance avec 271 élèves, recensé 114 enfants sans papier, et continue à mener à bien ses activités avec les moyens du bord, car personne ne le fera à leur place. Trouvez-vous cela normal ?
Faire la politique de la diaspora partout un autre défi
Néanmoins, ce modèle patriotique est aujourd’hui adopté à Ouakam, Guédiawaye et Rufisque à travers nos antennes, et nous allons l’exporter et faire le maillage grâce au soutien de l’Honorable Député de la Diaspora Mariam BADIANE, qui ne ménage aucun effort pour la réussite des actions posées par le Chef de l’Etat. Nous espérons que désormais avec la rupture prônée par le Chef de l’Etat à travers ses réformes, la suppression des maux subis par ces sénégalais sera une réalité.
Le développement local passe par les femmes, c’est en tout cas ce qui a été retenu par le Mouvement AND SUXALI DJIDAH, qui à sa tête Dieydi Cissé, un jeune cadre qui travaille pour l’adaptabilité de la vision du Chef de l’Etat au vécu des sénégalais.
Nous ne travaillons pas contre le Gouvernement même si cette zone est un fief de l’opposition, c’est seulement une zone ou le Gouvernement n’a pas crédit et que nous y avons accès.
Comment rester inerte face à des centaines de femmes sans emploi qui attendent que le PIDES (Programme Intégré au Développement Économique et Social) ou la DER (Délégation à l’Entreprenariat Rapide) pointent du nez ;
Comment rester inerte face à des centaines de jeunes qui attendent le secours de la Direction de l’équipement scolaire pour démarrer des cours de vacance en vain ;
Comment rester inerte face des centaines de ménages qui attendent le Ministère de la Santé pour la désinfection du bassin de rétention et la distribution de moustiquaires ;
Comment rester inerte face à des centaines d’enfants en âge d’aller à l’école qui attendent la tenue d’une audience foraine pour espérer obtenir un extrait de naissance.
Ce qui est le plus indignant c’est que le mouvement AND SUXALI DJIDAH en plus d’avoir reçu des promesses des autorités n’a obtenu aucune aide de leur part, ce n’est ni la Direction de l’Equipement scolaire, ni le Ministère de la Santé, ni la DER, ni le PIDES, ni même le Parti, et pourtant, ce sont ces mêmes autorités qui veulent que la banlieue les parraine, il faut apprendre à respecter les sénégalais.
Heureusement, que la base politique et sociale de Djidah Thiaroye Kaw a compris les enjeux et qu’il ne sert à rien de chercher un coupable, même s’il y’a le Sénégal d’en haut et Sénégal d’en bas, elle a organisé grâce à la richesse de son Capital Humain ses propres cours de vacance avec 271 élèves, recensé 114 enfants sans papier, et continue à mener à bien ses activités avec les moyens du bord, car personne ne le fera à leur place. Trouvez-vous cela normal ?
Faire la politique de la diaspora partout un autre défi
Néanmoins, ce modèle patriotique est aujourd’hui adopté à Ouakam, Guédiawaye et Rufisque à travers nos antennes, et nous allons l’exporter et faire le maillage grâce au soutien de l’Honorable Député de la Diaspora Mariam BADIANE, qui ne ménage aucun effort pour la réussite des actions posées par le Chef de l’Etat. Nous espérons que désormais avec la rupture prônée par le Chef de l’Etat à travers ses réformes, la suppression des maux subis par ces sénégalais sera une réalité.