Une fille violée et tuée
Drame à la commune de DYA dans l’arrondissement de ngothi, dans la région de Kaolack. Une fille a été violée et tuée. Avant-hier, le corps sans vie d’une fille a été retrouvé non loin du village de Ndiokel, juste à la sortie de la ville de Kaolack sur la route latéritique. La victime est une fille âgée de 17 ans qui a été tuée et abandonnée en pleine brousse entre les villages de Diomkhel et de Ndiockel Peulh. La dépouille mortelle était dans un état de putréfaction avancé. La gendarmerie et les sapeurs-pompiers se sont déplacés sur les lieux du drame pour les besoins de l’enquête et l’évacuation du corps à la morgue de l’hôpital régional de Kaolack.
Sen’Eau
Des perturbations planent à la Sen’Eau. Les travailleurs affiliés à l’intersyndicale annoncent un mouvement d’humeur. Cette grève commence ce lundi 17 octobre 2022 par un port de brassards rouges. Elle sera suivie d’un mot d’ordre de 24 heures qui sera décrété demain, mardi 18 octobre. Les syndicalistes dénoncent, de la sorte, des mesures jugées arbitraires et une entrave à la liberté syndicale. Ils s’érigent en bouclier contre la direction générale. « La Direction Générale tente par tous les moyens d’empêcher le camarade Mouhamadou Rassoul Mbaye de siéger au Conseil d’Administration, suite à son refus de servir les intérêts de la Direction Générale en lieu et place de ceux des travailleurs qui l’ont élu et qui sont dépositaires des 11% des parts d’actions de la Sen’eau » ont regretté ces travailleurs. L’intersyndicale fustige des « actes délictueux » de la direction. « Le refus de mener des négociations sérieuses pour l’augmentation des salaires des travailleurs à 40% conformément au mémorandum de 2018 ; la dégradation des conditions de travail qui installe le personnel dans une forme de précarité sans précédent ; les affections sanctions, arbitraires pour faits de grève ; les promotions internes non basées sur le mérite » sont entre autres les manquements notés au sein de l’entreprise.
Les données de l’Artp…
Le groupe de hackers Karakurt met à exécution ses menaces en divulguant 102 Go de données sensibles de l’ARTP. Le groupe de hackers Karakurt avait menacé de rendre publics, ce jour, 102 giga octets de données piratées à l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP) du Sénégal. Après avoir revendiqué son attaque la semaine dernière, le groupe aurait demandé une rançon dont le montant n’a pas été divulgué. Ce lundi 17 octobre 2022 était la fin de l’ultimatum des hackers pour verser la rançon demandée. Dans ses précédentes sorties, le régulateur sénégalais des télécoms avait prévenu qu’il ne paiera pas la rançon. Outre l’ARTP plusieurs autres entreprises sont actuellement touchées par ses attaques informatiques. Selon le géant mondial du conseil Accenture, Kakakurt est actif depuis juin 2021.
…dévoilées par les hackers
Le groupe cible les organisations de petite et moyenne taille, il s’infiltre progressivement dans un système informatique pour en extraire les données. Il n’injecte pas de malwares potentiellement destructeurs. Après l’extraction, il passe au chantage à la rançon pour ne pas diffuser les données publiquement ou à la concurrence. Accenture indique que le groupe modifie ses tactiques en fonction de l’environnement de la victime. D’après la société de sécurité informatique Kaspersky, la cyberattaque qui touche l’Autorité de régulation des télécoms au Sénégal utilise des logiciels et des fonctions disponibles dans le système de la victime pour y effectuer des actions malveillantes. L’Artp avait pourtant démenti toute attaque de son système.
Embalo chez Poutine…
Le chef de l’État bissau-guinéen et président en exercice de la Cedeao devrait être à Moscou, le 25 octobre, et à Kiev, les 26 et 27, afin de s’entretenir avec Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky. Au menu des discussions : la « paix » entre les deux pays en guerre, mais aussi les importations de céréales et d’engrais sur le continent, ainsi que la sécurité en Afrique de l’Ouest. Au 20 septembre, sur 178 navires ayant quitté les ports ukrainiens, seulement 20 ont eu pour destination l’Afrique subsaharienne. Le déplacement du président bissau-guinéen avait initialement été programmé à la fin de septembre, avant d’être reporté.
…et Zelensky
Umaro Sissoco Embaló a donc maintenu son voyage, même si le vote de son pays à l’Assemblée générale des Nations unies, le 12 octobre, n’a pas été en faveur de Moscou. La Guinée-Bissau s’était en effet prononcée en faveur de la résolution sur la défense de l’intégrité territoriale de l’Ukraine. Portée par Kiev et rédigée avec l’Union européenne, ce texte à portée essentiellement symbolique avait suscité 143 votes favorables, 5 votes contre (Russie, Bélarus, Syrie, Corée du nord et Nicaragua) et 35 abstentions.
Mali : 2 casques bleus tués
Deux Casques bleus de la mission de l'ONU au Mali (Minusma) ont été tués et quatre autres grièvement blessés lundi 17 octobre par l'explosion d'un engin explosif improvisé dans le nord du pays, a indiqué la Minusma sur Twitter. Les soldats ont trouvé la mort « quand leur véhicule a sauté sur un engin explosif improvisé lors d'une patrouille de déminage à Tessalit, dans la région de Kidal », a précisé la Minusma.
Drame à la commune de DYA dans l’arrondissement de ngothi, dans la région de Kaolack. Une fille a été violée et tuée. Avant-hier, le corps sans vie d’une fille a été retrouvé non loin du village de Ndiokel, juste à la sortie de la ville de Kaolack sur la route latéritique. La victime est une fille âgée de 17 ans qui a été tuée et abandonnée en pleine brousse entre les villages de Diomkhel et de Ndiockel Peulh. La dépouille mortelle était dans un état de putréfaction avancé. La gendarmerie et les sapeurs-pompiers se sont déplacés sur les lieux du drame pour les besoins de l’enquête et l’évacuation du corps à la morgue de l’hôpital régional de Kaolack.
Sen’Eau
Des perturbations planent à la Sen’Eau. Les travailleurs affiliés à l’intersyndicale annoncent un mouvement d’humeur. Cette grève commence ce lundi 17 octobre 2022 par un port de brassards rouges. Elle sera suivie d’un mot d’ordre de 24 heures qui sera décrété demain, mardi 18 octobre. Les syndicalistes dénoncent, de la sorte, des mesures jugées arbitraires et une entrave à la liberté syndicale. Ils s’érigent en bouclier contre la direction générale. « La Direction Générale tente par tous les moyens d’empêcher le camarade Mouhamadou Rassoul Mbaye de siéger au Conseil d’Administration, suite à son refus de servir les intérêts de la Direction Générale en lieu et place de ceux des travailleurs qui l’ont élu et qui sont dépositaires des 11% des parts d’actions de la Sen’eau » ont regretté ces travailleurs. L’intersyndicale fustige des « actes délictueux » de la direction. « Le refus de mener des négociations sérieuses pour l’augmentation des salaires des travailleurs à 40% conformément au mémorandum de 2018 ; la dégradation des conditions de travail qui installe le personnel dans une forme de précarité sans précédent ; les affections sanctions, arbitraires pour faits de grève ; les promotions internes non basées sur le mérite » sont entre autres les manquements notés au sein de l’entreprise.
Les données de l’Artp…
Le groupe de hackers Karakurt met à exécution ses menaces en divulguant 102 Go de données sensibles de l’ARTP. Le groupe de hackers Karakurt avait menacé de rendre publics, ce jour, 102 giga octets de données piratées à l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP) du Sénégal. Après avoir revendiqué son attaque la semaine dernière, le groupe aurait demandé une rançon dont le montant n’a pas été divulgué. Ce lundi 17 octobre 2022 était la fin de l’ultimatum des hackers pour verser la rançon demandée. Dans ses précédentes sorties, le régulateur sénégalais des télécoms avait prévenu qu’il ne paiera pas la rançon. Outre l’ARTP plusieurs autres entreprises sont actuellement touchées par ses attaques informatiques. Selon le géant mondial du conseil Accenture, Kakakurt est actif depuis juin 2021.
…dévoilées par les hackers
Le groupe cible les organisations de petite et moyenne taille, il s’infiltre progressivement dans un système informatique pour en extraire les données. Il n’injecte pas de malwares potentiellement destructeurs. Après l’extraction, il passe au chantage à la rançon pour ne pas diffuser les données publiquement ou à la concurrence. Accenture indique que le groupe modifie ses tactiques en fonction de l’environnement de la victime. D’après la société de sécurité informatique Kaspersky, la cyberattaque qui touche l’Autorité de régulation des télécoms au Sénégal utilise des logiciels et des fonctions disponibles dans le système de la victime pour y effectuer des actions malveillantes. L’Artp avait pourtant démenti toute attaque de son système.
Embalo chez Poutine…
Le chef de l’État bissau-guinéen et président en exercice de la Cedeao devrait être à Moscou, le 25 octobre, et à Kiev, les 26 et 27, afin de s’entretenir avec Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky. Au menu des discussions : la « paix » entre les deux pays en guerre, mais aussi les importations de céréales et d’engrais sur le continent, ainsi que la sécurité en Afrique de l’Ouest. Au 20 septembre, sur 178 navires ayant quitté les ports ukrainiens, seulement 20 ont eu pour destination l’Afrique subsaharienne. Le déplacement du président bissau-guinéen avait initialement été programmé à la fin de septembre, avant d’être reporté.
…et Zelensky
Umaro Sissoco Embaló a donc maintenu son voyage, même si le vote de son pays à l’Assemblée générale des Nations unies, le 12 octobre, n’a pas été en faveur de Moscou. La Guinée-Bissau s’était en effet prononcée en faveur de la résolution sur la défense de l’intégrité territoriale de l’Ukraine. Portée par Kiev et rédigée avec l’Union européenne, ce texte à portée essentiellement symbolique avait suscité 143 votes favorables, 5 votes contre (Russie, Bélarus, Syrie, Corée du nord et Nicaragua) et 35 abstentions.
Mali : 2 casques bleus tués
Deux Casques bleus de la mission de l'ONU au Mali (Minusma) ont été tués et quatre autres grièvement blessés lundi 17 octobre par l'explosion d'un engin explosif improvisé dans le nord du pays, a indiqué la Minusma sur Twitter. Les soldats ont trouvé la mort « quand leur véhicule a sauté sur un engin explosif improvisé lors d'une patrouille de déminage à Tessalit, dans la région de Kidal », a précisé la Minusma.