Le fils de Cheikh Amar a vraiment de la "baraka". Après une virée nocturne bien arrosée aux Almadies, Serigne Saliou Amar, qui conduisait en état d'ébriété, a été arrêté par les gendarmes de Ngor.
Il les a tout simplement abreuvé d'injures, raconte “Vox populi”. Il a été arrêté, placé en garde à vue pour conduite en état d'ébriété, injures publiques et outrage à agent dans l'exercice de ses fonctions. Il risquait d'être déféré au parquet ce vendredi. Mais selon “Les Echos”, il a été libéré dans la nuit, les gendarmes ayant été sommés de le laisser rentrer chez lui.
En avril 2015, Serigne Saliou Amar, à bord d'un véhicule noir 4X4 de marque Ford, vitres teintées, sans immatriculation, appartenant à son père, avait heurté vers 3 heures du matin deux véhicules stationnés non loin du domicile privé du Président de la République, Macky Sall, à Mermoz. Sommé par les gendarmes en faction devant le domicile du chef de l'Etat, il avait refusé d'obtempérer, obligeant les gendarmes à tirer et à crever un des pneus du véhicule. La voiture s'était retrouvé dans le décor et le conducteur avait été acheminé à la brigade de gendarmerie de Ouakam où il était placé en garde à vue. Suite à des pressions, les gendarmes étaient obligés de le libérer.
Il y a quelque jours, racontait “La Tribune”, il avait aussi dégainé une arme dans une boite de nuit des Almadies pour en découdre avec l'international de football, El Hadji Diouf.
Selon “Vox Populi”, le fils de Cheikh Amar est également cité dans d'autres affaires pour le moins scandaleux. Mais il a une étonnante "baraka". Il s'en sort toujours, sans peine ni dépens.
Il les a tout simplement abreuvé d'injures, raconte “Vox populi”. Il a été arrêté, placé en garde à vue pour conduite en état d'ébriété, injures publiques et outrage à agent dans l'exercice de ses fonctions. Il risquait d'être déféré au parquet ce vendredi. Mais selon “Les Echos”, il a été libéré dans la nuit, les gendarmes ayant été sommés de le laisser rentrer chez lui.
En avril 2015, Serigne Saliou Amar, à bord d'un véhicule noir 4X4 de marque Ford, vitres teintées, sans immatriculation, appartenant à son père, avait heurté vers 3 heures du matin deux véhicules stationnés non loin du domicile privé du Président de la République, Macky Sall, à Mermoz. Sommé par les gendarmes en faction devant le domicile du chef de l'Etat, il avait refusé d'obtempérer, obligeant les gendarmes à tirer et à crever un des pneus du véhicule. La voiture s'était retrouvé dans le décor et le conducteur avait été acheminé à la brigade de gendarmerie de Ouakam où il était placé en garde à vue. Suite à des pressions, les gendarmes étaient obligés de le libérer.
Il y a quelque jours, racontait “La Tribune”, il avait aussi dégainé une arme dans une boite de nuit des Almadies pour en découdre avec l'international de football, El Hadji Diouf.
Selon “Vox Populi”, le fils de Cheikh Amar est également cité dans d'autres affaires pour le moins scandaleux. Mais il a une étonnante "baraka". Il s'en sort toujours, sans peine ni dépens.