On en sait davantage sur les motivations réelles du dernier du dernier remaniement ministériel. L'objectif visé par le pouvoir était d'enrôler Idrissa Seck et Ousmane Sonko dans le gouvernement afin de réduire leur marge de manœuvre. A rappeler que ces derniers étaient ses plus terribles adversaires à la dernière présidentielle du 24 fevrier 2019.
Trois mois après sa réélection contestée, Macky SALL, Président de l’Alliance Pour la République (APR), a été conseillé par Abdou Diouf et plusieurs marabouts en vue de nouer le fil du dialogue avec ses opposants dans l'optique de s'offrir un quinquennat paisible.
Entre temps Macky décide d'aller plus loin. lors de son tète -tète avec Me Wade, il a proposé ce dernier la mise en place d'un gouvernement d'union nationale. Exclusif.net a appris que cette même proposition a été d'ailleurs faite à Idrissa Seck, qui avait craché sur la première main tendue de Macky avant qu'il ne revienne à des meilleurs sentiments.
Le président du conseil départemental de Thiès a dans un premier temps, négocié pour le compte de son propre parti. Sachant que son ralliement comme une grande trahison, il a tenté de meler certains membre de sa coalition de ce protocole pour ne pas dire deal.
Alors qu'au même moment, le patron de l'APR tentait plusieurs fois d'avoir Ousmane Sonko, mais toutes les voix qui mènent vers le chef de file de Pastef lui sont fermées.
Il change de tactique en optant pour la "déstabilisation" de la coalition Jotna. Boubacar Camara, qui incarnait l'aille modérée de la coalition Jotna a été rapproché. Et s'en est suivi une rencontre avec le président Macky Sall d'où il est sorti avec une pluie de promesses, avant de rendre compte à Sonko ainsi qu'à d'autres figures de ladite coalition.
Tous lui ont opposé un niet catégorique par rapport à un éventuel rapprochement avec Macky Sall. Apres ce revers Boubacar Camara décide de partir avec un projet portant sur le lancement d'une nouvelle coalition
La polémique continue. Mais Ousmane Sonko dans le but certainement de démontrer son radicalisme a décidé de quitter cette coalition déjà infiltrée par Macky Sall.
Trois mois après sa réélection contestée, Macky SALL, Président de l’Alliance Pour la République (APR), a été conseillé par Abdou Diouf et plusieurs marabouts en vue de nouer le fil du dialogue avec ses opposants dans l'optique de s'offrir un quinquennat paisible.
Entre temps Macky décide d'aller plus loin. lors de son tète -tète avec Me Wade, il a proposé ce dernier la mise en place d'un gouvernement d'union nationale. Exclusif.net a appris que cette même proposition a été d'ailleurs faite à Idrissa Seck, qui avait craché sur la première main tendue de Macky avant qu'il ne revienne à des meilleurs sentiments.
Le président du conseil départemental de Thiès a dans un premier temps, négocié pour le compte de son propre parti. Sachant que son ralliement comme une grande trahison, il a tenté de meler certains membre de sa coalition de ce protocole pour ne pas dire deal.
Alors qu'au même moment, le patron de l'APR tentait plusieurs fois d'avoir Ousmane Sonko, mais toutes les voix qui mènent vers le chef de file de Pastef lui sont fermées.
Il change de tactique en optant pour la "déstabilisation" de la coalition Jotna. Boubacar Camara, qui incarnait l'aille modérée de la coalition Jotna a été rapproché. Et s'en est suivi une rencontre avec le président Macky Sall d'où il est sorti avec une pluie de promesses, avant de rendre compte à Sonko ainsi qu'à d'autres figures de ladite coalition.
Tous lui ont opposé un niet catégorique par rapport à un éventuel rapprochement avec Macky Sall. Apres ce revers Boubacar Camara décide de partir avec un projet portant sur le lancement d'une nouvelle coalition
La polémique continue. Mais Ousmane Sonko dans le but certainement de démontrer son radicalisme a décidé de quitter cette coalition déjà infiltrée par Macky Sall.