Dans sa dernière livraison, La Lettre du Continent a révélé que le sort du fils d’Abdoulaye Wade est depuis plus d’un mois au cœur des relations entre Doha et Dakar. ‘’Le Qatar a entamé mi-avril une mission de bons offices auprès du gouvernement sénégalais afin d’obtenir la libération anticipée de Karim Wade’’. D’après la même source, ‘’les autorités de Dakar ne seraient pas opposés à un tel scénario, ’’toutefois, ‘’elles posent une condition : ‘’que l’ancien ministre d’État se fasse oublier, en se retirant dans le riche émirat’’.
Une proposition sur laquelle aurait craché ‘’Karim Wade qui s’oppose à toute idée d’exil, même momentané’’. D’après nos confrères, ce refus de s’éloigner du Sénégal ‘’ne l’a pas empêché de dépêcher deux de ses avocats, Madické Niang et Mohamed Seydou Diagne, à Doha au cours de la seconde quinzaine d’avril afin de recueillir plus de précisions sur les contours de cette médiation’’.
Le journal en ligne de rappeler que malgré cette volonté de négociation, la justice française a jugé, il y a quelques semaines, recevable la plainte de Karim Wade pour détention arbitraire. Cette décision fait suite à une saisine du tribunal de Grande instance de Paris par les avocats de l’ancien ministre d’État.
Une proposition sur laquelle aurait craché ‘’Karim Wade qui s’oppose à toute idée d’exil, même momentané’’. D’après nos confrères, ce refus de s’éloigner du Sénégal ‘’ne l’a pas empêché de dépêcher deux de ses avocats, Madické Niang et Mohamed Seydou Diagne, à Doha au cours de la seconde quinzaine d’avril afin de recueillir plus de précisions sur les contours de cette médiation’’.
Le journal en ligne de rappeler que malgré cette volonté de négociation, la justice française a jugé, il y a quelques semaines, recevable la plainte de Karim Wade pour détention arbitraire. Cette décision fait suite à une saisine du tribunal de Grande instance de Paris par les avocats de l’ancien ministre d’État.