Une victoire d'un but d'écart qui peut peser lourd dans la course pour les demi-finales de la Ligue des champions. D'abord étouffant puis trop dans la gestion, l'Atlético Madrid s'est fait peur mais a dominé, mercredi 10 avril, le Borussia Dortmund (2-1) à domicile en quart de finale aller.
La rencontre s'est jouée avec un dispositif de sécurité renforcé suite aux menaces de l'organisation État islamique, sans qu'aucun incident ne soit signalé, comme lors du choc mardi entre le Real Madrid et Manchester City.
Après leur exploit en quarts face à l'Inter, finaliste l'an passé (2-1, qualification aux tirs au buts), les Colchoneros ont fait le travail en transformant ce choc entre outsiders en un match longtemps à sens unique, jusqu'à la réduction de l'écart tardive de Sébastien Haller (81e).
Poussés par leurs supporters dans une ambiance de feu, réchauffée par quelques fumigènes craqués lors de leur arrivée, les hommes de Diego Simeone ont une nouvelle fois su se sublimer à domicile, où ils n'ont subi qu'une seule défaite depuis plus d'un an.
Tout l'inverse du Borussia, pourtant capable cette saison de tenir tête au PSG et à l'AC Milan ou de battre le Bayern Munich, mais qui n'a pas su répondre à l'intensité imposée par Antoine Griezmann et ses coéquipiers et a totalement raté son entame de match.
Griezmann au four et au moulin
Les Rojiblancos ont pris l'avantage dès la 4e minute de jeu, lorsque le champion du monde argentin Rodrigo de Paul a ouvert le score du bout du pied droit après avoir intercepté une passe mal assurée par le latéral néerlandais Ian Maatsen (1-0).
Récompensé pour son pressing haut, l'Atlético a alors complètement étouffé une formation allemande rapidement acculée dans son camp et totalement dominée dans l'impact physique.
La rencontre aurait pu tourner à la démonstration, le gardien suisse Gregor Kobel empêchant Axel Witsel de doubler la mise sur un centre de Griezmann (7e).
Encore dans tous les bons coups, l'attaquant français, de retour de sa blessure à la cheville, a parfaitement profité d'une nouvelle mésentente de la défense allemande pour offrir la balle du 2-0 à son compère brésilien Samuel Lino, qui a fait exploser le Metropolitano (32e).
La rencontre s'est jouée avec un dispositif de sécurité renforcé suite aux menaces de l'organisation État islamique, sans qu'aucun incident ne soit signalé, comme lors du choc mardi entre le Real Madrid et Manchester City.
Après leur exploit en quarts face à l'Inter, finaliste l'an passé (2-1, qualification aux tirs au buts), les Colchoneros ont fait le travail en transformant ce choc entre outsiders en un match longtemps à sens unique, jusqu'à la réduction de l'écart tardive de Sébastien Haller (81e).
Poussés par leurs supporters dans une ambiance de feu, réchauffée par quelques fumigènes craqués lors de leur arrivée, les hommes de Diego Simeone ont une nouvelle fois su se sublimer à domicile, où ils n'ont subi qu'une seule défaite depuis plus d'un an.
Tout l'inverse du Borussia, pourtant capable cette saison de tenir tête au PSG et à l'AC Milan ou de battre le Bayern Munich, mais qui n'a pas su répondre à l'intensité imposée par Antoine Griezmann et ses coéquipiers et a totalement raté son entame de match.
Griezmann au four et au moulin
Les Rojiblancos ont pris l'avantage dès la 4e minute de jeu, lorsque le champion du monde argentin Rodrigo de Paul a ouvert le score du bout du pied droit après avoir intercepté une passe mal assurée par le latéral néerlandais Ian Maatsen (1-0).
Récompensé pour son pressing haut, l'Atlético a alors complètement étouffé une formation allemande rapidement acculée dans son camp et totalement dominée dans l'impact physique.
La rencontre aurait pu tourner à la démonstration, le gardien suisse Gregor Kobel empêchant Axel Witsel de doubler la mise sur un centre de Griezmann (7e).
Encore dans tous les bons coups, l'attaquant français, de retour de sa blessure à la cheville, a parfaitement profité d'une nouvelle mésentente de la défense allemande pour offrir la balle du 2-0 à son compère brésilien Samuel Lino, qui a fait exploser le Metropolitano (32e).