Le Real Madrid a souffert, mais s'est imposé, comme (presque) toujours en Ligue des champions, à domicile contre Stuttgart ce mardi (3-1). À domicile, les Madrilènes ont lancé leur campagne de Ligue des champions nouvelle formule, avec un match à l'image de leur début de saison.
Pour sa première apparition dans cette toute nouvelle Ligue des champions, le Real Madrid l'a jouée à l'ancienne. Puisque c'est dans les vieux pots qu'on fait la meilleure confiture, le club 15 fois champion d'Europe a usé de ses recettes déjà bien connues pour l'emporter contre Stuttgart ce mardi, à domicile, dans cette première journée de C1. Les coéquipiers de Kylian Mbappé ont d'abord souffert, puis manqué des occasions dans un match complètement ouvert, dans lequel on a eu longtemps l'impression que les deux équipes pouvaient l'emporter. Mais à la fin, c'est Carlo Ancelotti et les Madrilènes qui gagnent.
Thibaut Courtois a longtemps tenu la baraque face à une équipe allemande venue jouer crânement sa chance sous le toit d'un Santiago Bernabéu tout neuf, refermé pour l'occasion, alors qu'il a fait un temps superbe dans cette douce soirée espagnole. Le Belge s'est d'abord imposé sur une frappe en angle fermé de Jamie Leweling (2e), après un mauvais renvoi de la défense. Puis il a brillé de nouveau en écartant de son but une belle frappe enroulée d'Enzo Millot (8e), avant d'enchaîner avec une main ferme en face à face avec Angelo Stiller (16e), au bout d'un superbe mouvement de Stuttgart. Le gardien du Real a même bénéficié d'une belle dose de réussite, puisqu'il a vu la frappe de Deniz Undav, contrée par Carvajal, s'écraser sur sa barre transversale (28e), alors qu'il était battu.
En parallèle, le Real, par l'intermédiaire du trio explosif Mbappé-Rodrygo-Vinicius, a tout de même gâché quelques cartouches. La faute a une défense de Stuttgart courageuse, à défaut d'être disciplinée, et d'un peu de maladresse dans la surface. Sauf qu'après la mi-temps, de maladresse il n'y a pas eu. Après une poignée de seconde, Rodrygo a profité d'une énième erreur de la défense allemande pour déborder côté droit et servir tranquillement Mbappé, seul devant le but vide (46e). Le Bernabéu a enfin pu scander le nom de son nouveau chouchou un soir de Ligue des champions. Vinicius a ensuite cherché à l'imiter (58e), mais n'a trouvé que la barre transversale d'une frappe du gauche à l'entrée de la surface.
Deniz Undav a cherché à gâcher la fête, en marquant finalement le but qui pendait au nez du Real Madrid, à force de laisser d'immenses espaces dans sa défense. Trouvé seul au monde au deuxième poteau, sur une remise de Leweling, il a eu tout le loisir d'aligner Courtois (68e). Sauf que, comme on pouvait s'y attendre, un madrilène est sorti de sa boîte. Un diable nommé Rüdiger, qui s'est imposé de la tête sur corner pour faire 2-1 (83e). Un scénario qui tient désormais de la prophétie quand il s'agit du Real Madrid, d'autant plus quand l'adversaire ne profite pas d'une soirée dans laquelle les Espagnols sont abordables. Et comme une punition, le très jeune brésilien Endrick est venu porter le score à 3-1 dans le temps additionnel.
Pour sa première apparition dans cette toute nouvelle Ligue des champions, le Real Madrid l'a jouée à l'ancienne. Puisque c'est dans les vieux pots qu'on fait la meilleure confiture, le club 15 fois champion d'Europe a usé de ses recettes déjà bien connues pour l'emporter contre Stuttgart ce mardi, à domicile, dans cette première journée de C1. Les coéquipiers de Kylian Mbappé ont d'abord souffert, puis manqué des occasions dans un match complètement ouvert, dans lequel on a eu longtemps l'impression que les deux équipes pouvaient l'emporter. Mais à la fin, c'est Carlo Ancelotti et les Madrilènes qui gagnent.
Thibaut Courtois a longtemps tenu la baraque face à une équipe allemande venue jouer crânement sa chance sous le toit d'un Santiago Bernabéu tout neuf, refermé pour l'occasion, alors qu'il a fait un temps superbe dans cette douce soirée espagnole. Le Belge s'est d'abord imposé sur une frappe en angle fermé de Jamie Leweling (2e), après un mauvais renvoi de la défense. Puis il a brillé de nouveau en écartant de son but une belle frappe enroulée d'Enzo Millot (8e), avant d'enchaîner avec une main ferme en face à face avec Angelo Stiller (16e), au bout d'un superbe mouvement de Stuttgart. Le gardien du Real a même bénéficié d'une belle dose de réussite, puisqu'il a vu la frappe de Deniz Undav, contrée par Carvajal, s'écraser sur sa barre transversale (28e), alors qu'il était battu.
En parallèle, le Real, par l'intermédiaire du trio explosif Mbappé-Rodrygo-Vinicius, a tout de même gâché quelques cartouches. La faute a une défense de Stuttgart courageuse, à défaut d'être disciplinée, et d'un peu de maladresse dans la surface. Sauf qu'après la mi-temps, de maladresse il n'y a pas eu. Après une poignée de seconde, Rodrygo a profité d'une énième erreur de la défense allemande pour déborder côté droit et servir tranquillement Mbappé, seul devant le but vide (46e). Le Bernabéu a enfin pu scander le nom de son nouveau chouchou un soir de Ligue des champions. Vinicius a ensuite cherché à l'imiter (58e), mais n'a trouvé que la barre transversale d'une frappe du gauche à l'entrée de la surface.
Deniz Undav a cherché à gâcher la fête, en marquant finalement le but qui pendait au nez du Real Madrid, à force de laisser d'immenses espaces dans sa défense. Trouvé seul au monde au deuxième poteau, sur une remise de Leweling, il a eu tout le loisir d'aligner Courtois (68e). Sauf que, comme on pouvait s'y attendre, un madrilène est sorti de sa boîte. Un diable nommé Rüdiger, qui s'est imposé de la tête sur corner pour faire 2-1 (83e). Un scénario qui tient désormais de la prophétie quand il s'agit du Real Madrid, d'autant plus quand l'adversaire ne profite pas d'une soirée dans laquelle les Espagnols sont abordables. Et comme une punition, le très jeune brésilien Endrick est venu porter le score à 3-1 dans le temps additionnel.