Au Sénégal une vingtaine d'organisations de la société civile sénégalaise se sont réunies mardi, pour exprimer leur préoccupation face à la proposition de loi visant à interpréter la loi d’amnistie. Elles appellent le gouvernement et les parlementaires à engager des concertations inclusives avant tout vote sur cette proposition.
Les signataires soulignent que l’interprétation de la loi d’amnistie doit être abordée avec une extrême prudence, afin de ne pas compromettre les principes fondamentaux de justice équitable. Ils insistent sur l’importance de lutter contre l’impunité, d’encourager l’indemnisation des victimes et de garantir la réparation des préjudices, tout en respectant les droits des citoyens.
Dans leur déclaration conjointe, les 20 organisations ont énoncé six principes fondamentaux qui devraient guider l’examen de cette proposition de loi notamment la recherche de la vérité ; la lutte contre l’impunité ; la réparation intégrale des préjudices subis par les victimes doit être une priorité, garantissant un accès à des compensations adéquates pour leurs souffrances.
En plus, des mesures doivent être mises en place pour éviter la répétition de telles situations au Sénégal, en renforçant les mécanismes de protection des droits humains.
Selon la société civile, un espace de dialogue doit être créé pour permettre aux victimes, aux organisations de la société civile et à d’autres acteurs sociaux de faire entendre leur voix et de contribuer au processus décisionnel.
Les organisations appellent à une pause dans le processus législatif actuel pour permettre des concertations approfondies, respectant ainsi le principe d’une justice équitable et impartiale.
Elles invitent donc le gouvernement, les parlementaires et toutes les parties concernées à s’engager dans un dialogue constructif sur cette question délicate.
Elles insistent sur la nécessité que ces concertations soient transparentes et accessibles, permettant à chaque citoyen d’exprimer ses préoccupations et de formuler des suggestions.
Les signataires soulignent que l’interprétation de la loi d’amnistie doit être abordée avec une extrême prudence, afin de ne pas compromettre les principes fondamentaux de justice équitable. Ils insistent sur l’importance de lutter contre l’impunité, d’encourager l’indemnisation des victimes et de garantir la réparation des préjudices, tout en respectant les droits des citoyens.
Dans leur déclaration conjointe, les 20 organisations ont énoncé six principes fondamentaux qui devraient guider l’examen de cette proposition de loi notamment la recherche de la vérité ; la lutte contre l’impunité ; la réparation intégrale des préjudices subis par les victimes doit être une priorité, garantissant un accès à des compensations adéquates pour leurs souffrances.
En plus, des mesures doivent être mises en place pour éviter la répétition de telles situations au Sénégal, en renforçant les mécanismes de protection des droits humains.
Selon la société civile, un espace de dialogue doit être créé pour permettre aux victimes, aux organisations de la société civile et à d’autres acteurs sociaux de faire entendre leur voix et de contribuer au processus décisionnel.
Les organisations appellent à une pause dans le processus législatif actuel pour permettre des concertations approfondies, respectant ainsi le principe d’une justice équitable et impartiale.
Elles invitent donc le gouvernement, les parlementaires et toutes les parties concernées à s’engager dans un dialogue constructif sur cette question délicate.
Elles insistent sur la nécessité que ces concertations soient transparentes et accessibles, permettant à chaque citoyen d’exprimer ses préoccupations et de formuler des suggestions.