L’Association des femmes diplômées des universités (FIFDU), a organisé une rencontre, ce week-end, pour développer un plan d’actions s’articulant autour du développement du pays, l’instauration d’une paix durable, la promotion et l’éducation des filles. Au cours de cette assemblée, la présidente de ladite association, Dr Ndèye Arame Boye, a fait savoir à la presse, que la question liée au maintien des filles dans les établissements reste une préoccupation majeure.
De moins en moins, on voit des jeunes filles faire des études très poussées. Ces dernières sont souvent confrontées à plusieurs problèmes. Celles, qui ont la chance de décrocher des diplômes universitaires et regroupées au sein de l’Association des femmes diplômées des universités (FIFDU), que dirige le Dr Ndèye Arame Boye, compte apporter leur soutien à cette jeune génération. Pour la physicienne, les problèmes que rencontrent les jeunes dans les études sont nombreux. « Je vous donne un exemple terre à terre, si vous avez une jeune fille qui va à l’école et qui passe toute sa journée dans cet établissement, quand elle sent le besoin d’aller au toilette, c’est impossible pour elle. Parce que, il y a pas de toilettes pour les filles. Et c’est un problème énorme sur lequel il faut agir. Dans certains endroits, il y a des gens qui soutiennent que les filles n’ont pas besoin de faire des études très avancées », déclare-t-elle.
Pour ce cas précis, le Dr Boye soutient : « Nous avons des arguments pour leur dire que ce n’est plus le cas et les filles peuvent faire des hautes études. Car, nous avons fait de hautes études ». Toujours pour sortir les jeunes à surpasser ces difficultés, l’Association des femmes diplômées des universités (FIFDU) a révélé à la presse son plan d’actions qui consiste à assister la gente féminine dans les amphis. « Nous avons mis en place un système de monitoring, c’est-à-dire celles qui ont déjà une forte position, comme nous, peuvent prendre en charge d’autres filles sous leur coupole et leur servant de modèles. Dans un établissement, nous avons demandé qu’il y aient certaines politiques spécifiques pour les filles dans les établissements et faire en sorte que les filles se sentent mieux dans leurs établissements », souligne-t-elle.
Le représentant du ministre de l’Enseignement supérieur a, pour part, soutenu que le Gouvernement reste sensible à ces difficultés et que bientôt des solutions seront trouvées pour les jeunes filles. Pour rappel, l’Association des femmes diplômées des universités (FIFDU) existe depuis 1991 et elle regroupe les femmes évoluant dans plusieurs secteurs professionnels et titulaires d’un diplôme de l’Enseignement supérieur.
Ibrahima Khalil DIEME
De moins en moins, on voit des jeunes filles faire des études très poussées. Ces dernières sont souvent confrontées à plusieurs problèmes. Celles, qui ont la chance de décrocher des diplômes universitaires et regroupées au sein de l’Association des femmes diplômées des universités (FIFDU), que dirige le Dr Ndèye Arame Boye, compte apporter leur soutien à cette jeune génération. Pour la physicienne, les problèmes que rencontrent les jeunes dans les études sont nombreux. « Je vous donne un exemple terre à terre, si vous avez une jeune fille qui va à l’école et qui passe toute sa journée dans cet établissement, quand elle sent le besoin d’aller au toilette, c’est impossible pour elle. Parce que, il y a pas de toilettes pour les filles. Et c’est un problème énorme sur lequel il faut agir. Dans certains endroits, il y a des gens qui soutiennent que les filles n’ont pas besoin de faire des études très avancées », déclare-t-elle.
Pour ce cas précis, le Dr Boye soutient : « Nous avons des arguments pour leur dire que ce n’est plus le cas et les filles peuvent faire des hautes études. Car, nous avons fait de hautes études ». Toujours pour sortir les jeunes à surpasser ces difficultés, l’Association des femmes diplômées des universités (FIFDU) a révélé à la presse son plan d’actions qui consiste à assister la gente féminine dans les amphis. « Nous avons mis en place un système de monitoring, c’est-à-dire celles qui ont déjà une forte position, comme nous, peuvent prendre en charge d’autres filles sous leur coupole et leur servant de modèles. Dans un établissement, nous avons demandé qu’il y aient certaines politiques spécifiques pour les filles dans les établissements et faire en sorte que les filles se sentent mieux dans leurs établissements », souligne-t-elle.
Le représentant du ministre de l’Enseignement supérieur a, pour part, soutenu que le Gouvernement reste sensible à ces difficultés et que bientôt des solutions seront trouvées pour les jeunes filles. Pour rappel, l’Association des femmes diplômées des universités (FIFDU) existe depuis 1991 et elle regroupe les femmes évoluant dans plusieurs secteurs professionnels et titulaires d’un diplôme de l’Enseignement supérieur.
Ibrahima Khalil DIEME