Après l’avoir gracié, Macky Sall serait prêt à amnistier Karim Wade, autrement dit effacer sa condamnation. Selon Jeune Afrique, qui donne l’information, l’action ne pourrait intervenir qu’après la présidentielle de 2019, si l’actuel président est réélu bien sûr.
La source se demande si le projet ne vise pas à faire patienter Karim Wade, candidat déclaré du Parti démocratique sénégalais (PDS) ? Surtout après la fumeuse sortie de Wade-père qui ne badine plus avec la candidature de son fils. « Je suis Secrétaire général d’un parti qui a investi son candidat et qui n’est pas prêt de se plier sous les exigences de Macky Sall qui ne souhaite pas se retrouver face à Karim et, de ce fait, a procédé aux montages les plus abracadabrants, pour éliminer un adversaire potentiel, au prix de la violation des principes les plus élémentaires du droit. Notre position est claire. Le PDS n’a pas de Plan B et, si Macky Sall insiste à vouloir éliminer notre candidat, nous lui opposerons une farouche résistance. »
Une amnistie générale qui pourrait également concerner Khalifa Sall, l’ex maire de Dakar condamné en appel à 5 ans de prison et à une amende de cinq millions francs CFA pour escroquerie sur des deniers publics. Les avocats de ce dernier apprécieront. Eux qui ont fini d’internationaliser le combat contre, selon leurs propres termes, « le calendrier de l’Etat du Sénégal » qui est de faire en sorte que leur client, ne puisse pas figurer sur la liste des candidats à l’élection présidentielle par le Conseil constitutionnel.
Les détracteurs de la traque des biens mal acquis qui parlaient de « procès politique », auraient-ils raison ?
La source se demande si le projet ne vise pas à faire patienter Karim Wade, candidat déclaré du Parti démocratique sénégalais (PDS) ? Surtout après la fumeuse sortie de Wade-père qui ne badine plus avec la candidature de son fils. « Je suis Secrétaire général d’un parti qui a investi son candidat et qui n’est pas prêt de se plier sous les exigences de Macky Sall qui ne souhaite pas se retrouver face à Karim et, de ce fait, a procédé aux montages les plus abracadabrants, pour éliminer un adversaire potentiel, au prix de la violation des principes les plus élémentaires du droit. Notre position est claire. Le PDS n’a pas de Plan B et, si Macky Sall insiste à vouloir éliminer notre candidat, nous lui opposerons une farouche résistance. »
Une amnistie générale qui pourrait également concerner Khalifa Sall, l’ex maire de Dakar condamné en appel à 5 ans de prison et à une amende de cinq millions francs CFA pour escroquerie sur des deniers publics. Les avocats de ce dernier apprécieront. Eux qui ont fini d’internationaliser le combat contre, selon leurs propres termes, « le calendrier de l’Etat du Sénégal » qui est de faire en sorte que leur client, ne puisse pas figurer sur la liste des candidats à l’élection présidentielle par le Conseil constitutionnel.
Les détracteurs de la traque des biens mal acquis qui parlaient de « procès politique », auraient-ils raison ?