La France ne laissera jamais personne menacer le Tchad, a déclaré vendredi le président français Emmanuel Macron à N'Djamena où il assiste aux obsèques du président Idriss Déby.
"La France ne laissera jamais personne remettre en cause, ne laissera jamais personne menacer ni aujourd'hui ni demain la stabilité et l'intégrité du Tchad", a dit Emmanuel Macron lors de son discours, retransmis sur Reuters TV.
"La France sera également là pour faire vivre sans attendre la promesse d'un Tchad apaisé faisant une place à l'ensemble de ses enfants et toute ses composantes", a-t-il ajouté en assurant que la France serait aux côtés du Tchad au long de cette "transition démocratique".
Le fils du président défunt, Mahamat Idriss Déby, préside le conseil militaire de transition mis en place à l'annonce du décès de son père, qui avait pris le pouvoir en 1990 lors d'une rébellion armée et venait d'être réélu pour un sixième mandat.
Âgé de 37 ans, Mahamat Idriss Déby, qui a le grade de général, a promis que l'armée rendrait le pouvoir aux civils dans un délai de 18 mois.
L'opposition tchadienne dénonce un coup d'Etat institutionnel et a appelé à mener une campagne de désobéissance civile, alors qu'un général a déclaré que de nombreux officiers étaient opposés au plan de transition.
"La France ne laissera jamais personne remettre en cause, ne laissera jamais personne menacer ni aujourd'hui ni demain la stabilité et l'intégrité du Tchad", a dit Emmanuel Macron lors de son discours, retransmis sur Reuters TV.
"La France sera également là pour faire vivre sans attendre la promesse d'un Tchad apaisé faisant une place à l'ensemble de ses enfants et toute ses composantes", a-t-il ajouté en assurant que la France serait aux côtés du Tchad au long de cette "transition démocratique".
Le fils du président défunt, Mahamat Idriss Déby, préside le conseil militaire de transition mis en place à l'annonce du décès de son père, qui avait pris le pouvoir en 1990 lors d'une rébellion armée et venait d'être réélu pour un sixième mandat.
Âgé de 37 ans, Mahamat Idriss Déby, qui a le grade de général, a promis que l'armée rendrait le pouvoir aux civils dans un délai de 18 mois.
L'opposition tchadienne dénonce un coup d'Etat institutionnel et a appelé à mener une campagne de désobéissance civile, alors qu'un général a déclaré que de nombreux officiers étaient opposés au plan de transition.