Manar Sall, ancien directeur général de Petrosen Trading & Services, a dénoncé un abus d'autorité après avoir été interdit de voyager le 10 septembre dernier. Dans une déclaration publique, il a exprimé son indignation et exigé la publication de la liste des "otages" du Premier ministre Ousmane Sonko.
Sall a critiqué cette interdiction de sortie du territoire, qu'il considère comme un abus de pouvoir manifeste, en l'absence de notification préalable d'une enquête ou d'un audit concernant sa gestion. "À ma grande surprise, je me suis retrouvé sur la liste des Otages de Sonko, ayant été interdit de quitter le territoire ce mardi 10 septembre sans aucune notification d'une enquête en cours ou d'un audit sur ma gestion de la société nationale. Dois-je comprendre que servir mon pays sous l'ancien régime est désormais un crime ou que la présomption d'innocence n'existe plus au Sénégal ?" s'interroge l'ancien directeur général.
Il a également dénoncé ce qu'il perçoit comme une atteinte à la présomption d'innocence. "Il est erroné de croire que tous les Sénégalais sont des peureux. Une personne ayant quelque chose à se reprocher ne créerait pas une société. Je suis prêt à répondre à toutes les questions et à aller en prison si j'ai commis des fautes. Tous les Sénégalais ne sont pas des criminels, et avant lui, il y a eu des patriotes."
Manar Sall a rappelé son engagement pour le développement de PETROSEN Trading & Services, une société qu'il a fondée avec un capital de 100 millions de francs CFA. Sous sa direction, l'entreprise a connu un développement majeur, notamment avec l'établissement d'un réseau de stations-service, la distribution de gaz butane, et la création d'une application pour les clients. Son leadership a permis de faire passer le chiffre d'affaires de la société de 0 à 500 milliards de francs CFA en trois ans.
Il a précisé que toutes les actions entreprises étaient soutenues et approuvées par le conseil d'administration de la société, et a souligné que PETROSEN Trading & Services ne recevait pas de fonds publics. La Cour des comptes, lors d'un audit en 2023, avait d'ailleurs recommandé un soutien accru à l'entreprise.
Sall a exprimé son étonnement d'être sur la liste des "otages" de Sonko, en mettant en avant son expérience internationale de 20 ans dans le secteur pétrolier et son engagement envers le développement économique du Sénégal. Il a demandé à être convoqué et entendu dans les meilleurs délais pour reprendre une vie normale et rencontrer ses partenaires. "Je demande à être convoqué et entendu dans les meilleurs délais afin de reprendre une vie normale et aller à la rencontre de mes partenaires. Pour votre information, je ne possède aucun bien immobilier sur le littoral, à Mbour 4, ou sur la bande des filaos. Je demande le soutien de tous les patriotes sénégalais épris de justice pour exiger la publication de la liste des Otages de Sonko."
Il a conclu : "Je suis Manar Sall et j'ai servi mon pays sans frigo-bar ni machine à café, en étant le premier chaque jour à mon bureau. Non à l'autoritarisme. Que Dieu protège le Sénégal !"
Sall a critiqué cette interdiction de sortie du territoire, qu'il considère comme un abus de pouvoir manifeste, en l'absence de notification préalable d'une enquête ou d'un audit concernant sa gestion. "À ma grande surprise, je me suis retrouvé sur la liste des Otages de Sonko, ayant été interdit de quitter le territoire ce mardi 10 septembre sans aucune notification d'une enquête en cours ou d'un audit sur ma gestion de la société nationale. Dois-je comprendre que servir mon pays sous l'ancien régime est désormais un crime ou que la présomption d'innocence n'existe plus au Sénégal ?" s'interroge l'ancien directeur général.
Il a également dénoncé ce qu'il perçoit comme une atteinte à la présomption d'innocence. "Il est erroné de croire que tous les Sénégalais sont des peureux. Une personne ayant quelque chose à se reprocher ne créerait pas une société. Je suis prêt à répondre à toutes les questions et à aller en prison si j'ai commis des fautes. Tous les Sénégalais ne sont pas des criminels, et avant lui, il y a eu des patriotes."
Manar Sall a rappelé son engagement pour le développement de PETROSEN Trading & Services, une société qu'il a fondée avec un capital de 100 millions de francs CFA. Sous sa direction, l'entreprise a connu un développement majeur, notamment avec l'établissement d'un réseau de stations-service, la distribution de gaz butane, et la création d'une application pour les clients. Son leadership a permis de faire passer le chiffre d'affaires de la société de 0 à 500 milliards de francs CFA en trois ans.
Il a précisé que toutes les actions entreprises étaient soutenues et approuvées par le conseil d'administration de la société, et a souligné que PETROSEN Trading & Services ne recevait pas de fonds publics. La Cour des comptes, lors d'un audit en 2023, avait d'ailleurs recommandé un soutien accru à l'entreprise.
Sall a exprimé son étonnement d'être sur la liste des "otages" de Sonko, en mettant en avant son expérience internationale de 20 ans dans le secteur pétrolier et son engagement envers le développement économique du Sénégal. Il a demandé à être convoqué et entendu dans les meilleurs délais pour reprendre une vie normale et rencontrer ses partenaires. "Je demande à être convoqué et entendu dans les meilleurs délais afin de reprendre une vie normale et aller à la rencontre de mes partenaires. Pour votre information, je ne possède aucun bien immobilier sur le littoral, à Mbour 4, ou sur la bande des filaos. Je demande le soutien de tous les patriotes sénégalais épris de justice pour exiger la publication de la liste des Otages de Sonko."
Il a conclu : "Je suis Manar Sall et j'ai servi mon pays sans frigo-bar ni machine à café, en étant le premier chaque jour à mon bureau. Non à l'autoritarisme. Que Dieu protège le Sénégal !"