Dans un communiqué publié ce 17 décembre 2024, le groupe Teyliom a réagi aux informations relayées par certains médias concernant des mandats d’arrêt internationaux émis contre Yérim Sow, fondateur du groupe, et son collaborateur Yigo Faly Thiam. Ces mandats font suite à une condamnation à 5 ans de prison, dont 2 ans ferme, prononcée le 21 décembre 2021 par le tribunal de Cotonou.
Teyliom dénonce des "informations incomplètes et tendancieuses" visant à nuire à son image et à celle de ses dirigeants. Le communiqué, ferme et détaillé, rappelle plusieurs éléments essentiels :
La destruction arbitraire de l’hôtel Noom Cotonou, qui appartient au groupe.
L’arbitrage en cours au CIRDI (Centre International de Règlement des Différends relatifs aux Investissements), initié contre la République du Bénin.
Des mesures prises par les autorités béninoises après l’introduction de cet arbitrage, que le groupe considère comme injustifiées.
Selon Teyliom, Yérim Sow et Yigo Faly Thiam n’ont jamais été notifiés du jugement rendu en 2021, ce qui empêche toute opposition ou appel. Par conséquent, le groupe estime que cette décision n’est pas exécutoire et ne dispose pas de l’autorité de la chose jugée.
Le groupe souligne que ses dirigeants n’ont jamais été informés des charges ou des éléments factuels et juridiques ayant conduit à leur condamnation. "Messieurs Sow et Thiam ne sont toujours pas en mesure d’apprécier ni de commenter les éléments sur lesquels la chambre correctionnelle aurait fondé sa décision", précise le communiqué.
Défense de l’image et des intérêts du groupe
Teyliom se dit déterminé à défendre ses droits et à protéger sa réputation. "Le groupe entend faire valoir pleinement ses droits légitimes, comme il l’a toujours fait, et se réserve le droit de prendre toutes les mesures nécessaires pour défendre son image, sa réputation et celle de ses dirigeants", insiste le communiqué.
Par ailleurs, Teyliom rappelle son engagement dans le développement de la région à travers des investissements majeurs, tout en rejetant toute "allégation injustifiée" susceptible de porter atteinte à son image.
Un arbitrage en cours
L’arbitrage initié devant le CIRDI reste, selon le groupe, l’occasion de clarifier cette situation. Teyliom réaffirme sa confiance dans les mécanismes internationaux pour résoudre ce différend et appelle à une gestion équitable des relations entre investisseurs et États.
Ce communiqué marque une étape importante dans ce dossier complexe, opposant le groupe Teyliom à la République du Bénin sur fond de litige judiciaire et d’arbitrage international.
Teyliom dénonce des "informations incomplètes et tendancieuses" visant à nuire à son image et à celle de ses dirigeants. Le communiqué, ferme et détaillé, rappelle plusieurs éléments essentiels :
La destruction arbitraire de l’hôtel Noom Cotonou, qui appartient au groupe.
L’arbitrage en cours au CIRDI (Centre International de Règlement des Différends relatifs aux Investissements), initié contre la République du Bénin.
Des mesures prises par les autorités béninoises après l’introduction de cet arbitrage, que le groupe considère comme injustifiées.
Selon Teyliom, Yérim Sow et Yigo Faly Thiam n’ont jamais été notifiés du jugement rendu en 2021, ce qui empêche toute opposition ou appel. Par conséquent, le groupe estime que cette décision n’est pas exécutoire et ne dispose pas de l’autorité de la chose jugée.
Le groupe souligne que ses dirigeants n’ont jamais été informés des charges ou des éléments factuels et juridiques ayant conduit à leur condamnation. "Messieurs Sow et Thiam ne sont toujours pas en mesure d’apprécier ni de commenter les éléments sur lesquels la chambre correctionnelle aurait fondé sa décision", précise le communiqué.
Défense de l’image et des intérêts du groupe
Teyliom se dit déterminé à défendre ses droits et à protéger sa réputation. "Le groupe entend faire valoir pleinement ses droits légitimes, comme il l’a toujours fait, et se réserve le droit de prendre toutes les mesures nécessaires pour défendre son image, sa réputation et celle de ses dirigeants", insiste le communiqué.
Par ailleurs, Teyliom rappelle son engagement dans le développement de la région à travers des investissements majeurs, tout en rejetant toute "allégation injustifiée" susceptible de porter atteinte à son image.
Un arbitrage en cours
L’arbitrage initié devant le CIRDI reste, selon le groupe, l’occasion de clarifier cette situation. Teyliom réaffirme sa confiance dans les mécanismes internationaux pour résoudre ce différend et appelle à une gestion équitable des relations entre investisseurs et États.
Ce communiqué marque une étape importante dans ce dossier complexe, opposant le groupe Teyliom à la République du Bénin sur fond de litige judiciaire et d’arbitrage international.