L’affaire a suscité une vive agitation. «Je l’ai tuée sous les yeux de ses enfants» : cette terrible confession émane du meurtrier d’Awa Cissé, une femme enceinte assassinée dans son lit à Kafountine.
Arrêté par la Section de recherches (SR) de Ziguinchor, Daouda Diallo, un ressortissant guinéen originaire de Kédougou, est actuellement incarcéré pour meurtre, ainsi que pour tentatives d’assassinat et agressions suivies de vol à l’encontre de plusieurs autres femmes, selon Libération.
Le mode opératoire du suspect était bien rodé, précise le journal : lorsqu’il pénétrait dans une maison la nuit, il « assommait avec un bâton toute victime qui faisait du bruit ou semblait se réveiller ».
Cela concerne une dizaine de victimes, dont A. Diassy, D. Sambou, F. Diallo et D. Mané, d’après le quotidien. Il est rapporté que ces femmes ont toutes indiqué « ne pas avoir été agressées sexuellement », mais avoir reçu des coups à la tête.
Une des victimes, N. Badji, a affirmé qu’une personne non identifiée est entrée par effraction chez elle « entre le 22 et le 24 avril 2024 » et a emporté ses deux téléphones portables, blessant sa fille au passage.
Malgré ces aveux, Diallo a juré « qu’il n’avait jamais eu l’intention de tuer [sa onzième victime, Awa Cissé] mais plutôt de voler des téléphones portables ».
Arrêté par la Section de recherches (SR) de Ziguinchor, Daouda Diallo, un ressortissant guinéen originaire de Kédougou, est actuellement incarcéré pour meurtre, ainsi que pour tentatives d’assassinat et agressions suivies de vol à l’encontre de plusieurs autres femmes, selon Libération.
Le mode opératoire du suspect était bien rodé, précise le journal : lorsqu’il pénétrait dans une maison la nuit, il « assommait avec un bâton toute victime qui faisait du bruit ou semblait se réveiller ».
Cela concerne une dizaine de victimes, dont A. Diassy, D. Sambou, F. Diallo et D. Mané, d’après le quotidien. Il est rapporté que ces femmes ont toutes indiqué « ne pas avoir été agressées sexuellement », mais avoir reçu des coups à la tête.
Une des victimes, N. Badji, a affirmé qu’une personne non identifiée est entrée par effraction chez elle « entre le 22 et le 24 avril 2024 » et a emporté ses deux téléphones portables, blessant sa fille au passage.
Malgré ces aveux, Diallo a juré « qu’il n’avait jamais eu l’intention de tuer [sa onzième victime, Awa Cissé] mais plutôt de voler des téléphones portables ».