Lorsqu’elle a rencontré l’actrice fétiche de la série «Un Café Avec», venue lui louer un appartement studio au sein de son complexe, S.S était loin de s’imaginer que l’exubérante Mia, la reine de Piscine Party, la fille pourrie et gâtée de Thierno Diallo était, dans la vie, ce qu’elle est à l’écran : une starlette qui n’a pas froid aux yeux. «J’étais loin de m’imaginer la vraie nature de cette fille», a t-elle déclaré plus tard. Arrivée en janvier dernier, Mia a été installé dans un appartement studio loué 15,000F CFA la nuitée.
Au cours des 4 premiers mois, les paiements se sont faits régulièrement à l’instar, certainement, des entrées d’argent de la starlette. Mais, après avoir longuement remarqué que Mia accumulait des arriérés, la gérante s’est approchée d’elle pour le règlement des notes.
«Elle m’a dit que désormais elle ne paierait qu’à la fin des mois. Comme je n’y voyais pas d’inconvénient, j’ai accepté» reconnaît aujourd’hui la gérante.
Cheikh Yérim Seck intervient…
Seulement, comme «avec Mia tout est possible», elle n’honorera pas ses engagements. En mai, elle n’a rien payé. Et en presque fin juin, le même silence est remarqué. Mis au courant de cette affaire plus que dommageable, Cheikh Yérim Seck, le producteur du film «Un Café Avec», pour éviter le scandale, s’est engagé à payer la note de la discorde. «Il nous a appelés et a dit qu’il se trouvait à l’étranger. Mais, il s’est engagé à payer dès qu’il va rentrer. Il a promis de passer la Korité au Sénégal et qu’il allait passer nous payer », a déclaré la gérante.
Alors qu’elle s’attend à ce que cliente passe à la caisse, la logeuse aura la désagréable surprise d’apprendre qu’une bagarre a éclaté dans la résidence. A l’origine de la bagarre, un rastaman chargé de valises qui tentait de sortir de l’appartement B5, un appartement occupé, jusque-là, par la sulfureuse Mia Seynabou Diop. Sentant le coup de la fuite, le réceptionniste a interpellé le porteur de valises et lui a fait comprendre qu’il ne pouvait pas sortir puisque son amie, Mia, devait encore 56 jours de location, à savoir 840.000F. CFA.
Face à l’intransigeance du rastaman, le réceptionniste a appelé le vigile en renfort et contacté, aussitôt, la gérante. De son côté, face à deux hommes prêts à en découdre avec lui, le rastaman n’avait d’autre choix que d’appeler la principale concernée. «C’est ainsi qu’a débarqué Mia Seynabou Diop en pleine nuit, avec un autre homme, décidée à partir avec sa grosse valise ». A témoigné la gérante. «Comme nous refusons toujours de les laisser partir, elle s’en est prise au vigile et c’est là que la bagarre a éclaté». Laisse-t-on entendre du côté de la Cité Djily Mbaye.
Consciente de l’inégalité des forces, l’actrice consent de battre en retraite. Son exfiltration est stratégique. Mais la suite va s’avérer dommageable pour elle. «Elle est directement au commissariat de police des Parcelles Assainies pour porter plainte pour vol de bijoux contre mon personnel». S’est désolée S. S. «Au poste de police, la dame nous a déclaré avoir été agressé par un gardien de l’hôtel où elle vivait.».
Comme elle a déclaré que ses bijoux ont été volés là bas et qu’elle ne s’y sentait plus en sécurité, elle a décidé de partir. » Nous a déclaré une source judicaire. «Lorsque nous recevons une victime d’agression suivie de vol, en pleine nuit, et de surcroit une femme, la première des choses à faire, c’est de nous rendre sur les lieux de la flagrance, interpeller tout le monde et sauvegarder les indices avant les mis en cause n’aient le temps de les faire disparaître», admet un officier de police judiciaire.
«C’est ce qu’ont fait les éléments du commissaire Mandjibou Lèye lorsqu’ils ont débarqué à l’hôtel. Conduits au commissariat, les mis en cause ont fait face aux enquêteurs. Mais, au fur et à mesure que se déroulaient les auditions, les enquêteurs se sont rendus compte de l’écart abyssal entre ce qu’ils étaient venus chercher –des agresseurs de star, voleurs de bijoux- et ce qu’ils vont trouver : une starlette coupable de filouterie. Leur opinion faite, les enquêteurs notifient, dans la nuit du samedi 18 juin, à Mia sa mise en garde à vue pour les filouterie et diffamation.
Le restant de la note pour vendredi prochain…
Consciente de la fragilité de sa situation, la starlette va remuer ciel et terre pour se tirer d’affaire. Finalement, c’est une relation de Mia –dont nous taisons le nom- qui a pris la décision de payer la note. Informés de cette proposition, les gérants de l’hôtel ont accepté l’offre. « Voilà pourquoi, nous informe une de nos sources au fait de cette affaire, le parquet a décidé la levée de la garde à vue. Le procureur ne décide pas, comme l’ont dit les journalistes, de libérer les mis en cause comme ça. Comme si elle a bénéficié de passe droit.»
Conformément à ses engagements, cet homme, dont nous taisons volontairement le nom, a été aperçu hier, mardi 28 juin, payer la somme de 500.000 FCFA. Cette somme a été remise à la gérante de l’hôtel qui est arrivée dans les locaux du commissariat vers les coups de 15 heures pour récupérer son argent. Le reliquat qui est de 340.000 F CFA doit être versé vendredi prochain. «Si cette personne s’acquitte du reliquat, alors le dossier sera classé. Au cas contraire, Mia sera convoquée à nouveau et déferrée au parquet», prévient notre source judiciaire.
Si pour le moment, les risques de son déferrement et de sa possible comparution devant le tribunal des flagrants délits, pour filouterie, semble s’éloigner, la possibilité de sa présentation devant le juges correctionnels de Dakar est toujours d’actualité. La procédure pour diffamation est toujours maintenue contre Mia Seynabou Diop.
Au cours des 4 premiers mois, les paiements se sont faits régulièrement à l’instar, certainement, des entrées d’argent de la starlette. Mais, après avoir longuement remarqué que Mia accumulait des arriérés, la gérante s’est approchée d’elle pour le règlement des notes.
«Elle m’a dit que désormais elle ne paierait qu’à la fin des mois. Comme je n’y voyais pas d’inconvénient, j’ai accepté» reconnaît aujourd’hui la gérante.
Cheikh Yérim Seck intervient…
Seulement, comme «avec Mia tout est possible», elle n’honorera pas ses engagements. En mai, elle n’a rien payé. Et en presque fin juin, le même silence est remarqué. Mis au courant de cette affaire plus que dommageable, Cheikh Yérim Seck, le producteur du film «Un Café Avec», pour éviter le scandale, s’est engagé à payer la note de la discorde. «Il nous a appelés et a dit qu’il se trouvait à l’étranger. Mais, il s’est engagé à payer dès qu’il va rentrer. Il a promis de passer la Korité au Sénégal et qu’il allait passer nous payer », a déclaré la gérante.
Alors qu’elle s’attend à ce que cliente passe à la caisse, la logeuse aura la désagréable surprise d’apprendre qu’une bagarre a éclaté dans la résidence. A l’origine de la bagarre, un rastaman chargé de valises qui tentait de sortir de l’appartement B5, un appartement occupé, jusque-là, par la sulfureuse Mia Seynabou Diop. Sentant le coup de la fuite, le réceptionniste a interpellé le porteur de valises et lui a fait comprendre qu’il ne pouvait pas sortir puisque son amie, Mia, devait encore 56 jours de location, à savoir 840.000F. CFA.
Face à l’intransigeance du rastaman, le réceptionniste a appelé le vigile en renfort et contacté, aussitôt, la gérante. De son côté, face à deux hommes prêts à en découdre avec lui, le rastaman n’avait d’autre choix que d’appeler la principale concernée. «C’est ainsi qu’a débarqué Mia Seynabou Diop en pleine nuit, avec un autre homme, décidée à partir avec sa grosse valise ». A témoigné la gérante. «Comme nous refusons toujours de les laisser partir, elle s’en est prise au vigile et c’est là que la bagarre a éclaté». Laisse-t-on entendre du côté de la Cité Djily Mbaye.
Consciente de l’inégalité des forces, l’actrice consent de battre en retraite. Son exfiltration est stratégique. Mais la suite va s’avérer dommageable pour elle. «Elle est directement au commissariat de police des Parcelles Assainies pour porter plainte pour vol de bijoux contre mon personnel». S’est désolée S. S. «Au poste de police, la dame nous a déclaré avoir été agressé par un gardien de l’hôtel où elle vivait.».
Comme elle a déclaré que ses bijoux ont été volés là bas et qu’elle ne s’y sentait plus en sécurité, elle a décidé de partir. » Nous a déclaré une source judicaire. «Lorsque nous recevons une victime d’agression suivie de vol, en pleine nuit, et de surcroit une femme, la première des choses à faire, c’est de nous rendre sur les lieux de la flagrance, interpeller tout le monde et sauvegarder les indices avant les mis en cause n’aient le temps de les faire disparaître», admet un officier de police judiciaire.
«C’est ce qu’ont fait les éléments du commissaire Mandjibou Lèye lorsqu’ils ont débarqué à l’hôtel. Conduits au commissariat, les mis en cause ont fait face aux enquêteurs. Mais, au fur et à mesure que se déroulaient les auditions, les enquêteurs se sont rendus compte de l’écart abyssal entre ce qu’ils étaient venus chercher –des agresseurs de star, voleurs de bijoux- et ce qu’ils vont trouver : une starlette coupable de filouterie. Leur opinion faite, les enquêteurs notifient, dans la nuit du samedi 18 juin, à Mia sa mise en garde à vue pour les filouterie et diffamation.
Le restant de la note pour vendredi prochain…
Consciente de la fragilité de sa situation, la starlette va remuer ciel et terre pour se tirer d’affaire. Finalement, c’est une relation de Mia –dont nous taisons le nom- qui a pris la décision de payer la note. Informés de cette proposition, les gérants de l’hôtel ont accepté l’offre. « Voilà pourquoi, nous informe une de nos sources au fait de cette affaire, le parquet a décidé la levée de la garde à vue. Le procureur ne décide pas, comme l’ont dit les journalistes, de libérer les mis en cause comme ça. Comme si elle a bénéficié de passe droit.»
Conformément à ses engagements, cet homme, dont nous taisons volontairement le nom, a été aperçu hier, mardi 28 juin, payer la somme de 500.000 FCFA. Cette somme a été remise à la gérante de l’hôtel qui est arrivée dans les locaux du commissariat vers les coups de 15 heures pour récupérer son argent. Le reliquat qui est de 340.000 F CFA doit être versé vendredi prochain. «Si cette personne s’acquitte du reliquat, alors le dossier sera classé. Au cas contraire, Mia sera convoquée à nouveau et déferrée au parquet», prévient notre source judiciaire.
Si pour le moment, les risques de son déferrement et de sa possible comparution devant le tribunal des flagrants délits, pour filouterie, semble s’éloigner, la possibilité de sa présentation devant le juges correctionnels de Dakar est toujours d’actualité. La procédure pour diffamation est toujours maintenue contre Mia Seynabou Diop.