Ce 20 juin, la Banque mondiale a invité la société civile et le secteur privé sénégalais, mardi, à Dakar, à un atelier de sensibilisation destiné à mieux leur faire comprendre les règles de passation des marchés publics qu’elle finance au Sénégal.
Une rencontre qui a été organisée par la Banque Mondiale en partenariat avec le secteur privé sénégalais. Avec comme thème: « la participation du Secteur Privé et des Organisations de la Société Civile aux marchés financés par le Banque Mondiale »
Sur ce, Laurent Mehdi Brito, Coordonnateur de la passation des marchés de la Banque Mondiale au Sénégal précise que l’objectif de cet atelier entre dans le cadre d'échange et d'informations sur les marchés qui sont financés par la Banque mondiale, parler au secteur privé et aux organisations de la société civile de comment ils peuvent avoir accès aux marchés où sont les sources d'informations, montrer qu'il y a une certaine transparence dans les marchés, l'information est disponible, comment y avoir accès. Mais surtout aussi donner des informations de comment présenter de bonnes offres pour que les entreprises puissent gagner des marchés et les exécuter.
Sur la phase d'exécution des contrats on a constaté que souvent il y a des contrats qui n'arrivent pas à terme ou avec beaucoup de retard et on veut améliorer dans cette discussion et échanges avec le secteur privé et aussi la société civile qui fait le suivi des informations et des marchés qui sont passés, donc donner des informations pour améliorer les propositions et les exécutions de contrats.
« Nous avons au Sénégal un portefeuille de plus de 3 milliards de dollars, dont [une partie] passe par les marchés publics. C’est pour cela qu’on a souhaité avoir cet échange avec le secteur privé, afin qu’il puisse disposer de plus d’informations relatives à l’accès à ces marchés publics », a expliqué Laurent Mehdi Brito, le coordonnateur du service chargé de la passation des marchés au bureau de la Banque mondiale à Dakar.
« Dans les appels d'offres nous avons des critères d'évaluation et de qualification et c'est là où on note des faiblesses dans l'utilisation des formulaires que les projets envoient aux soumissionnaires, on voit que les formulaires ne sont pas bien remplies, les informations sont parfois manquantes et ça mène au rejet des offres, c'est pourquoi dans cette atelier nous allons passer en revue les mécanismes et voir où sont ces grandes faiblesses, la non utilisation des formulaires, des informations incomplètes, parfois inexactes.
Au niveau de l'exécution des marchés, parfois il y a beaucoup d'entreprises défaillantes » souligne M. Brito. « Les marchés de gré à gré font partie des méthodes qui existent », précise l’expert en passation de marché de la Banque mondiale, ajoutant qu’ils sont « encadrés » par les règles de l’institution financière.
Une série de recommandations comme l’appropriation des nouvelles procédures du code des marchés publics par les acteurs du secteur privé entre autres ont été formulés à l’égard de la Banque Mondiale.
Par ailleurs, Il déclare que le secteur privé dans son partenariat attend des financements de la banque mondiale pour les projets mais aussi et surtout pour le renforcement des capacités car celle-ci reste une institution forte et son apport dans le développement des pays est d’une importance capitale
Une rencontre qui a été organisée par la Banque Mondiale en partenariat avec le secteur privé sénégalais. Avec comme thème: « la participation du Secteur Privé et des Organisations de la Société Civile aux marchés financés par le Banque Mondiale »
Sur ce, Laurent Mehdi Brito, Coordonnateur de la passation des marchés de la Banque Mondiale au Sénégal précise que l’objectif de cet atelier entre dans le cadre d'échange et d'informations sur les marchés qui sont financés par la Banque mondiale, parler au secteur privé et aux organisations de la société civile de comment ils peuvent avoir accès aux marchés où sont les sources d'informations, montrer qu'il y a une certaine transparence dans les marchés, l'information est disponible, comment y avoir accès. Mais surtout aussi donner des informations de comment présenter de bonnes offres pour que les entreprises puissent gagner des marchés et les exécuter.
Sur la phase d'exécution des contrats on a constaté que souvent il y a des contrats qui n'arrivent pas à terme ou avec beaucoup de retard et on veut améliorer dans cette discussion et échanges avec le secteur privé et aussi la société civile qui fait le suivi des informations et des marchés qui sont passés, donc donner des informations pour améliorer les propositions et les exécutions de contrats.
« Nous avons au Sénégal un portefeuille de plus de 3 milliards de dollars, dont [une partie] passe par les marchés publics. C’est pour cela qu’on a souhaité avoir cet échange avec le secteur privé, afin qu’il puisse disposer de plus d’informations relatives à l’accès à ces marchés publics », a expliqué Laurent Mehdi Brito, le coordonnateur du service chargé de la passation des marchés au bureau de la Banque mondiale à Dakar.
« Dans les appels d'offres nous avons des critères d'évaluation et de qualification et c'est là où on note des faiblesses dans l'utilisation des formulaires que les projets envoient aux soumissionnaires, on voit que les formulaires ne sont pas bien remplies, les informations sont parfois manquantes et ça mène au rejet des offres, c'est pourquoi dans cette atelier nous allons passer en revue les mécanismes et voir où sont ces grandes faiblesses, la non utilisation des formulaires, des informations incomplètes, parfois inexactes.
Au niveau de l'exécution des marchés, parfois il y a beaucoup d'entreprises défaillantes » souligne M. Brito. « Les marchés de gré à gré font partie des méthodes qui existent », précise l’expert en passation de marché de la Banque mondiale, ajoutant qu’ils sont « encadrés » par les règles de l’institution financière.
Une série de recommandations comme l’appropriation des nouvelles procédures du code des marchés publics par les acteurs du secteur privé entre autres ont été formulés à l’égard de la Banque Mondiale.
Par ailleurs, Il déclare que le secteur privé dans son partenariat attend des financements de la banque mondiale pour les projets mais aussi et surtout pour le renforcement des capacités car celle-ci reste une institution forte et son apport dans le développement des pays est d’une importance capitale