Le directeur de Walfadjri, Moustapha Diop, a sévèrement condamné les activités de propagande menées par Bah Diakhaté et ses associés au sein de l'APR, les qualifiant de "grave et scandaleux" pour leur diffusion de mensonges.
Insistant sur la nécessité d'une intervention ferme de la justice pour mettre fin à de telles pratiques, Moustapha a souligné que la fabrication de fausses informations constitue une transgression bien plus sérieuse qu'une simple intrusion dans la vie privée.
Il a rappelé que, bien que Ousmane Sonko soit la victime actuelle de ces calomnies, ce phénomène perdure depuis des semaines et affecte plusieurs individus, dont Ababacar Mboup, également visé par de fausses allégations.
Pour Moustapha Diop, s'opposer à une personne ou à un régime ne justifie en aucun cas la propagation de mensonges. Dans un État de droit et démocratique comme le Sénégal, il est légitime de critiquer la gestion ou les discours d'une personne, mais c'est à la population de juger de ces critiques.
Ce qui a particulièrement indigné le directeur de Walftv dans cette affaire, c'est le fait qu'un individu puisse diffamer les autres pendant des mois, tout en bénéficiant du soutien d'un ancien ministre mentionné dans un rapport de la Cour des comptes, ainsi que d'un vice-président de l'Assemblée nationale.
Insistant sur la nécessité d'une intervention ferme de la justice pour mettre fin à de telles pratiques, Moustapha a souligné que la fabrication de fausses informations constitue une transgression bien plus sérieuse qu'une simple intrusion dans la vie privée.
Il a rappelé que, bien que Ousmane Sonko soit la victime actuelle de ces calomnies, ce phénomène perdure depuis des semaines et affecte plusieurs individus, dont Ababacar Mboup, également visé par de fausses allégations.
Pour Moustapha Diop, s'opposer à une personne ou à un régime ne justifie en aucun cas la propagation de mensonges. Dans un État de droit et démocratique comme le Sénégal, il est légitime de critiquer la gestion ou les discours d'une personne, mais c'est à la population de juger de ces critiques.
Ce qui a particulièrement indigné le directeur de Walftv dans cette affaire, c'est le fait qu'un individu puisse diffamer les autres pendant des mois, tout en bénéficiant du soutien d'un ancien ministre mentionné dans un rapport de la Cour des comptes, ainsi que d'un vice-président de l'Assemblée nationale.