Invité de l’émission Faram Facce de la Tfm, Souleymane Ndéné Ndiaye n’a pas mâché les mots et tire à boulets rouges sur le régime en place. Commentant la décision du Conseil constitutionnel qui annule le report des élections, il affirme que cette instance n’a nullement le pouvoir de fixer une date pour que se tiennent les élections présidentielles. «ça ne fait pas partie des attributions du Conseil constitutionnel de fixer une date pour des élections. Si elle avait fait ça, ce serait une forfaiture manifeste. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, elle a demandé à l’autorité administrative de fixer une date. Il faut dire que le Conseil constitutionnel n’a pas le droit de donner une injonction à l’administration», a fait savoir l’ancien Premier ministre sous le régime d’Abdoulaye Wade.
Il revient sur son éjection dès l’étape des parrainages et persiste sur le fait que les carottes sont déjà cuites pour Karim Wade et consorts. «La liste est fermée, c’est trop tard pour tous ceux qui ne figurent pas sur l’actuel liste des 19 candidats officiels. Moi, lorsqu’on m’a éliminé, j’avais décidé même si je ne l’avais pas annoncé publiquement de soutenir Karim Meïssa Wade parce que le PDS, c’est ma famille. Mais au moment où l’on parle, c’est la mort du petit cheval», confie l’ancien membre du Parti démocratique sénégalais (PDS).
Il revient sur son éjection dès l’étape des parrainages et persiste sur le fait que les carottes sont déjà cuites pour Karim Wade et consorts. «La liste est fermée, c’est trop tard pour tous ceux qui ne figurent pas sur l’actuel liste des 19 candidats officiels. Moi, lorsqu’on m’a éliminé, j’avais décidé même si je ne l’avais pas annoncé publiquement de soutenir Karim Meïssa Wade parce que le PDS, c’est ma famille. Mais au moment où l’on parle, c’est la mort du petit cheval», confie l’ancien membre du Parti démocratique sénégalais (PDS).