Alors en meeting dans le nord de la France, Nicolas Sarkozy a été interrompu par des étudiants gabonais l'accusant d'avoir soutenu Ali Bongo Ondimba. "Si vous voulez parler du Gabon, retournez-y !", leur a répondu l'ex-président français.
Le meeting de Nicolas Sarkozy à Marcq-en-Baroeul, qui clôturait une journée de déplacement commencée à Calais, dans la nord de la France, a été perturbé, mercredi 21 septembre, par une dizaine d'étudiants gabonais opposés à leur président élu Ali Bongo Ondimba.
Alors que le candidat à la primaire de la droite et du centre s'exprimait devant un millier de partisans, ces étudiants, portant des drapeaux du Gabon, ont fait irruption dans la salle en scandant "Sarko, vient chercher Ali !". Ces derniers accusent Nicolas Sarkozy d'avoir favorisé, lorsqu'il était président de la République, le maintien au pouvoir d'Ali Bongo, a expliqué à l'AFP un membre du collectif.
Après plusieurs dizaines de secondes de flottement, Nicolas Sarkozy a répliqué au micro à l'intention des étudiants. "Ici c'est la France, c'est pas le Gabon. Si vous voulez parler du Gabon, retournez-y !", a-t-il lancé, sous les applaudissements nourris de la salle. Les étudiants gabonais ont ensuite été expulsés de la salle par la sécurité.
Le meeting de Nicolas Sarkozy à Marcq-en-Baroeul, qui clôturait une journée de déplacement commencée à Calais, dans la nord de la France, a été perturbé, mercredi 21 septembre, par une dizaine d'étudiants gabonais opposés à leur président élu Ali Bongo Ondimba.
Alors que le candidat à la primaire de la droite et du centre s'exprimait devant un millier de partisans, ces étudiants, portant des drapeaux du Gabon, ont fait irruption dans la salle en scandant "Sarko, vient chercher Ali !". Ces derniers accusent Nicolas Sarkozy d'avoir favorisé, lorsqu'il était président de la République, le maintien au pouvoir d'Ali Bongo, a expliqué à l'AFP un membre du collectif.
Après plusieurs dizaines de secondes de flottement, Nicolas Sarkozy a répliqué au micro à l'intention des étudiants. "Ici c'est la France, c'est pas le Gabon. Si vous voulez parler du Gabon, retournez-y !", a-t-il lancé, sous les applaudissements nourris de la salle. Les étudiants gabonais ont ensuite été expulsés de la salle par la sécurité.