Les Nigérians ont réagi avec colère et indignation à des images partagées sur Facebook et Twitter d'un agent masculin de sécurité routière qui coupe les cheveux des femmes fonctionnaires dans l'État de Rivers, dans le Sud-Est du Nigéria.
M. Kumapayi a justifié ses actes par le manque de respect du code de conduite sur les coiffures par ses collègues.
Les images polémiques ont été affichées sur la page Facebook du Corps fédéral de sécurité routière (FRSC), avant d'être supprimées.
L'attitude de l'agent a été fermement condamnée par les utilisateurs de Twitter notamment.
Des internautes nigérians ont également accusé M. Kumapayi de «leadership brutal». Plusieurs le condamnent d'avoir laissé les travailleuses "démoralisées".
À la suite des réactions de colère, le chef du FRSC, Boboye Oyeyemi, a ordonné le rappel de M. Kumapayi au siège social de l'organe dans la capitale fédérale, Abuja.
M. Kumapayi n'a pas encore commenté ses critiques, mais certains ont pris la défense de l'agent soutenant que les femmes devraient respecter le réglement du FRSC plutôt que de dénoncer quelqu'un qui faisait simplement son travail en le traitant de "méchant et sans cœur".
BBC
M. Kumapayi a justifié ses actes par le manque de respect du code de conduite sur les coiffures par ses collègues.
Les images polémiques ont été affichées sur la page Facebook du Corps fédéral de sécurité routière (FRSC), avant d'être supprimées.
L'attitude de l'agent a été fermement condamnée par les utilisateurs de Twitter notamment.
Des internautes nigérians ont également accusé M. Kumapayi de «leadership brutal». Plusieurs le condamnent d'avoir laissé les travailleuses "démoralisées".
À la suite des réactions de colère, le chef du FRSC, Boboye Oyeyemi, a ordonné le rappel de M. Kumapayi au siège social de l'organe dans la capitale fédérale, Abuja.
M. Kumapayi n'a pas encore commenté ses critiques, mais certains ont pris la défense de l'agent soutenant que les femmes devraient respecter le réglement du FRSC plutôt que de dénoncer quelqu'un qui faisait simplement son travail en le traitant de "méchant et sans cœur".
BBC