Lundi 29 juillet, 36 membres du Forum pour le Changement Démocratique (FDC), un parti d'opposition ougandais, ont été inculpés pour « terrorisme » après avoir été arrêtés à Kampala. Ces militants, récemment expulsés du Kenya voisin, ont été interpellés tôt dans la matinée par les autorités ougandaises.
Selon la police ougandaise, les individus arrêtés étaient engagés dans des activités subversives, attirant l’attention des forces de sécurité kenyanes qui les ont remis aux autorités ougandaises le 24 juillet. Leur avocat qualifie ces accusations d'« abus insensé » et de « chasse aux sorcières », soulignant que le groupe avait initialement voyagé à Kisumu, au Kenya, pour participer à un séminaire de formation.
Lors de leur présentation devant le tribunal à Kampala, les membres du FDC ont exprimé leur détermination à travers des slogans diffusés dans une vidéo mise en ligne par un quotidien ougandais, scandant « Nous vaincrons, Museveni partira un jour ».
Kizza Besigye, ancien candidat à la présidence et ex-dirigeant du FDC, a dénoncé sur le réseau social X ce qu'il considère comme des inculpations « illégales » et une continuation de la torture physique que les militants auraient subie au Kenya. Selon leur avocat, les militants risquent une peine d’emprisonnement à vie. La prochaine audience est prévue pour le 13 août prochain.
Selon la police ougandaise, les individus arrêtés étaient engagés dans des activités subversives, attirant l’attention des forces de sécurité kenyanes qui les ont remis aux autorités ougandaises le 24 juillet. Leur avocat qualifie ces accusations d'« abus insensé » et de « chasse aux sorcières », soulignant que le groupe avait initialement voyagé à Kisumu, au Kenya, pour participer à un séminaire de formation.
Lors de leur présentation devant le tribunal à Kampala, les membres du FDC ont exprimé leur détermination à travers des slogans diffusés dans une vidéo mise en ligne par un quotidien ougandais, scandant « Nous vaincrons, Museveni partira un jour ».
Kizza Besigye, ancien candidat à la présidence et ex-dirigeant du FDC, a dénoncé sur le réseau social X ce qu'il considère comme des inculpations « illégales » et une continuation de la torture physique que les militants auraient subie au Kenya. Selon leur avocat, les militants risquent une peine d’emprisonnement à vie. La prochaine audience est prévue pour le 13 août prochain.