Si la présidentielle s’était tenue uniquement sur les réseaux sociaux, Ousmane Sonko aurait été plébiscité. C’est du moins ce qui ressort du troisième rapport de monitoring des réseaux sociaux de Gorée Institute.
Le monitoring couvre la période du 1er février au 10 mars 2019 où 717 contenus sur les réseaux sociaux ont été analysés dont 662, soit 93% sur Facebook et 47, soit 7% sur Twitter. D’après le document, avec 152 publications, Ousmane Sonko est le plus prolifique en terme de publications sur les réseaux sociaux où ses vidéos sur la période de monitoring ont été vues à 3 362 843 fois. En plus, indique la même source, pour tout type de publication confondue (vidéos, textes, images), Ousmane Sonko arrive également en tête en termes d’interactions avec le public, notamment «Like», «Partage» et «Commentaire». Le leader du parti Pastef est suivi par le Président Macky Sall qui a obtenu pendant la même période 467 841 vues et 322 504 pour Idrissa Seck.
Le rapport renseigne aussi que les hommes dominent la gent féminine sur les réseaux sociaux. Les hommes dominent l’actualité politique en liaison avec l’élection présidentielle de 2019. Les femmes occupent seulement 5% des publications analysées. Les publications où interviennent plusieurs personnalités occupent quant à elles 16% des débats politiques sur les réseaux sociaux. Toutefois, rapporte le document, si la présence du genre féminin est relativement basse sur Facebook, elle est quasiment nulle sur Twitter. La plupart des acteurs sont présents sur les deux réseaux sociaux et partagent systématiquement une publication faite sur un réseau sur l’autre. Aussi, dans l’ensemble, près d’une publication sur quatre (39%) analysée contient du texte et une image au moins.
Par contre sur Twitter, 53% des publications analysées contiennent uniquement du texte. La publication de vidéos par les acteurs politiques analysés est quasiment faite sur Facebook. Sur les 717 publications analysées sur les réseaux sociaux, 49% des intervenants sont des candidats à l’élection présidentielle. Les autres acteurs sont respectivement les acteurs politiques (33,8%), membres de la Société Civile (4%), les militants (3%), etc.
Source: L'AS
Le monitoring couvre la période du 1er février au 10 mars 2019 où 717 contenus sur les réseaux sociaux ont été analysés dont 662, soit 93% sur Facebook et 47, soit 7% sur Twitter. D’après le document, avec 152 publications, Ousmane Sonko est le plus prolifique en terme de publications sur les réseaux sociaux où ses vidéos sur la période de monitoring ont été vues à 3 362 843 fois. En plus, indique la même source, pour tout type de publication confondue (vidéos, textes, images), Ousmane Sonko arrive également en tête en termes d’interactions avec le public, notamment «Like», «Partage» et «Commentaire». Le leader du parti Pastef est suivi par le Président Macky Sall qui a obtenu pendant la même période 467 841 vues et 322 504 pour Idrissa Seck.
Le rapport renseigne aussi que les hommes dominent la gent féminine sur les réseaux sociaux. Les hommes dominent l’actualité politique en liaison avec l’élection présidentielle de 2019. Les femmes occupent seulement 5% des publications analysées. Les publications où interviennent plusieurs personnalités occupent quant à elles 16% des débats politiques sur les réseaux sociaux. Toutefois, rapporte le document, si la présence du genre féminin est relativement basse sur Facebook, elle est quasiment nulle sur Twitter. La plupart des acteurs sont présents sur les deux réseaux sociaux et partagent systématiquement une publication faite sur un réseau sur l’autre. Aussi, dans l’ensemble, près d’une publication sur quatre (39%) analysée contient du texte et une image au moins.
Par contre sur Twitter, 53% des publications analysées contiennent uniquement du texte. La publication de vidéos par les acteurs politiques analysés est quasiment faite sur Facebook. Sur les 717 publications analysées sur les réseaux sociaux, 49% des intervenants sont des candidats à l’élection présidentielle. Les autres acteurs sont respectivement les acteurs politiques (33,8%), membres de la Société Civile (4%), les militants (3%), etc.
Source: L'AS