En conférence de presse ce mardi, Clédor Sène, leader du mouvement Claire Vision Guindi Askan Wi, a lancé une alerte concernant la gestion controversée des énergies au Sénégal. Il a notamment mis en garde contre le businessman turc Ahmet Çalik, qu'il accuse d’être un « pion » envoyé par Samuel Sarr et ses alliés pour prendre le contrôle du secteur énergétique sénégalais.
Selon Clédor Sène, Ahmet Çalik serait le « cerveau » d’un trio d’impérialistes visant à dominer l'Afrique en s'appuyant sur des personnalités influentes pour contrôler l'énergie, l'industrie et les ressources naturelles du continent. Cette alerte a été déclenchée lorsque Sène a aperçu Çalik en compagnie du Premier ministre Ousmane Sonko, ce qui lui a immédiatement paru suspect.
Sène affirme avoir alerté en temps voulu sur les dangers posés par Çalik et ses associés, qu’il qualifie de « très liquides » et prêts à exploiter la situation financière fragile du Sénégal. « Un nouveau gouvernement confronté à des problèmes de trésorerie, qui fait des emprunts obligataires et lève des Eurobonds, sera facilement impressionné par Ahmet Çalik arrivant avec 1 000 milliards sur la table. Ils croient avoir trouvé une solution, alors qu’il s’agit en réalité de mafieux visant à contrôler notre énergie », a-t-il déclaré.
Il a insisté sur le fait que le Sénégal n’a pas besoin d’interventions extérieures comme celles de Çalik et de ses partenaires. Selon Sène, une gestion efficace de la Senelec pourrait résoudre les problèmes financiers de l’entreprise et réduire considérablement le coût de l’électricité d’ici 2025. « Nous devons viser une souveraineté énergétique. Il est inacceptable que Senelec ne produise que 26 % de l’énergie qu’elle vend », a-t-il conclu.
Le mouvement Claire Vision Guindi Askan Wi appelle donc à une vigilance accrue et à une révision de la politique énergétique du pays pour éviter toute influence néfaste sur le secteur stratégique de l’énergie.
Selon Clédor Sène, Ahmet Çalik serait le « cerveau » d’un trio d’impérialistes visant à dominer l'Afrique en s'appuyant sur des personnalités influentes pour contrôler l'énergie, l'industrie et les ressources naturelles du continent. Cette alerte a été déclenchée lorsque Sène a aperçu Çalik en compagnie du Premier ministre Ousmane Sonko, ce qui lui a immédiatement paru suspect.
Sène affirme avoir alerté en temps voulu sur les dangers posés par Çalik et ses associés, qu’il qualifie de « très liquides » et prêts à exploiter la situation financière fragile du Sénégal. « Un nouveau gouvernement confronté à des problèmes de trésorerie, qui fait des emprunts obligataires et lève des Eurobonds, sera facilement impressionné par Ahmet Çalik arrivant avec 1 000 milliards sur la table. Ils croient avoir trouvé une solution, alors qu’il s’agit en réalité de mafieux visant à contrôler notre énergie », a-t-il déclaré.
Il a insisté sur le fait que le Sénégal n’a pas besoin d’interventions extérieures comme celles de Çalik et de ses partenaires. Selon Sène, une gestion efficace de la Senelec pourrait résoudre les problèmes financiers de l’entreprise et réduire considérablement le coût de l’électricité d’ici 2025. « Nous devons viser une souveraineté énergétique. Il est inacceptable que Senelec ne produise que 26 % de l’énergie qu’elle vend », a-t-il conclu.
Le mouvement Claire Vision Guindi Askan Wi appelle donc à une vigilance accrue et à une révision de la politique énergétique du pays pour éviter toute influence néfaste sur le secteur stratégique de l’énergie.