Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique a convié les partis politiques et coalitions à des discussions autour du processus électoral en vue des élections législatives anticipées. Toutefois, l'Alliance pour la Transparence des Élections (ATEL) n’a pas pris part aux échanges.
Son porte-parole, Oumar Sarr, a quitté la salle en déclarant : « Vous avez pris des décrets pour organiser les élections sans concertation. » Il a ajouté que des questions préjudicielles devaient être abordées au préalable. « Nous voulons savoir si les discussions que nous allons entamer aboutiront au report des décrets déjà adoptés, afin de permettre un dialogue plus large et de parvenir à des consensus. C’est inédit. Nous avons toujours discuté du processus avant toute décision », a-t-il dénoncé devant le ministre Jean-Baptiste Tine.
Ce dernier a répondu : « M. Sarr, nous sommes ici pour discuter avec tous les acteurs du processus électoral. Nous avons plusieurs points à aborder et vos préoccupations sont bien notées. Nous informerons le président de la République des conclusions de ces échanges. » Ces explications n’ont pas convaincu l’ATEL, dont les membres ont quitté la salle, laissant le ministre poursuivre les débats avec les autres partis présents.
Son porte-parole, Oumar Sarr, a quitté la salle en déclarant : « Vous avez pris des décrets pour organiser les élections sans concertation. » Il a ajouté que des questions préjudicielles devaient être abordées au préalable. « Nous voulons savoir si les discussions que nous allons entamer aboutiront au report des décrets déjà adoptés, afin de permettre un dialogue plus large et de parvenir à des consensus. C’est inédit. Nous avons toujours discuté du processus avant toute décision », a-t-il dénoncé devant le ministre Jean-Baptiste Tine.
Ce dernier a répondu : « M. Sarr, nous sommes ici pour discuter avec tous les acteurs du processus électoral. Nous avons plusieurs points à aborder et vos préoccupations sont bien notées. Nous informerons le président de la République des conclusions de ces échanges. » Ces explications n’ont pas convaincu l’ATEL, dont les membres ont quitté la salle, laissant le ministre poursuivre les débats avec les autres partis présents.