Le mois du Ramadan est une période pour tout bon musulman de multiplier les actes de solidarité à l’ endroit des couchée les plus vulnérables et autres nécessiteux. Le vendredi dernier, un des reporters du journal Le Témoin est tombe sur une caravane de bonnes volontés qui distribuait des kits de « Soukeurou Kor » composés du riz parfumé, de dattes, d’huile et de sucre.
Cette manifestation de solidarité ambulante s’est déroulée dans une localité très éloignée de la banlieue dakaroise. Il fallait voir comment les populations poursuivaient la caravane, histoire de prouver qu’elles étaient vraiment dans le besoin social. Besoin d’être aidées et assistées. Lorsque nous avons voulu connaitre l’homme au bon cœur à l’origine de cet acte de bienfaisance, le chauffeur du camion nous a soufflés quelques mots : « c’est le Procureur Bakhoum. Il le fait chaque année en ce mois béni de Ramadan dans des localités et régions où personne ne le connaît », se magnifie-t-il.
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« Procureur Bakhoum ? Il n’y a pas deux dans la magistrature. Et «Le Témoin » jure que cet homme ne pouvait être que l’honorable avocat général Ibrahima Bakhoum, connu pour sa compétence et sa rigueur mais surtout sa sensibilité aux cas sociaux. A la place des peines de prison requises sans état d’âme, le procureur Bakhoum a requis cette fois-ci, une peine sociale composée de denrées alimentaires. Exactement la même peine sociale (matelas et vivre) que l’Union des magistrats du Sénégal (Ums) de Souleymane Téliko avait «infligée » aux détenus du Camp pénal de Liberté VI et de la Mac de Rebeuss. Ceux qui disaient que les magistrats ne faisaient que condamner, ont aujourd’hui tout faux !
Cette manifestation de solidarité ambulante s’est déroulée dans une localité très éloignée de la banlieue dakaroise. Il fallait voir comment les populations poursuivaient la caravane, histoire de prouver qu’elles étaient vraiment dans le besoin social. Besoin d’être aidées et assistées. Lorsque nous avons voulu connaitre l’homme au bon cœur à l’origine de cet acte de bienfaisance, le chauffeur du camion nous a soufflés quelques mots : « c’est le Procureur Bakhoum. Il le fait chaque année en ce mois béni de Ramadan dans des localités et régions où personne ne le connaît », se magnifie-t-il.
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