Le soutien du Rwanda au M23 dénoncé
Félix Tshisekedi a rappelé que le groupe rebelle M23, qu’il qualifie de « terroriste », continue de semer la terreur dans les provinces du Nord-Kivu, du Sud-Kivu et de l’Ituri. Il a souligné que le soutien direct du Rwanda au M23, confirmé par un rapport des Nations unies publié en décembre 2024, constitue une violation flagrante de la souveraineté de la RDC. Ce rapport établit, preuves à l’appui, la présence de milliers de soldats rwandais sur le territoire congolais, ainsi que leur implication dans l’exploitation illégale des ressources naturelles du pays.
Rejet de tout dialogue avec le M23
Le président Tshisekedi a exclu toute possibilité de négociation avec le M23, affirmant que dialoguer avec ce groupe armé reviendrait à « légitimer ses actions illégales et à saper les principes fondamentaux » de l’État congolais.
Il a également déploré l’annulation du sommet tripartite de Luanda, prévu le 15 décembre 2024, en raison, selon lui, des nouvelles exigences posées par la délégation rwandaise, notamment une demande de dialogue direct entre la RDC et le M23.
« Exiger un dialogue direct avec un groupe terroriste revient à légitimer des agissements qui violent nos lois et principes fondamentaux », a-t-il martelé.
Appel à des sanctions contre le Rwanda
Félix Tshisekedi a salué les condamnations émises par certains États à l’encontre du Rwanda, mais il a estimé que ces prises de position restent insuffisantes face à la gravité de la situation. Il a appelé à des « sanctions concrètes et immédiates » contre Kigali afin de mettre fin à ce conflit et « d’éviter une escalade régionale ».
Le président a dénoncé « les conséquences humanitaires désastreuses » de la crise dans l’Est de la RDC. Il a condamné l’instauration par le M23 d’administrations parallèles dans les zones sous son contrôle, affirmant que ces actions s’inscrivent dans une stratégie visant à affaiblir l’autorité de l’État et à instaurer un système d’épuration ethnique.
Félix Tshisekedi a rappelé que le groupe rebelle M23, qu’il qualifie de « terroriste », continue de semer la terreur dans les provinces du Nord-Kivu, du Sud-Kivu et de l’Ituri. Il a souligné que le soutien direct du Rwanda au M23, confirmé par un rapport des Nations unies publié en décembre 2024, constitue une violation flagrante de la souveraineté de la RDC. Ce rapport établit, preuves à l’appui, la présence de milliers de soldats rwandais sur le territoire congolais, ainsi que leur implication dans l’exploitation illégale des ressources naturelles du pays.
Rejet de tout dialogue avec le M23
Le président Tshisekedi a exclu toute possibilité de négociation avec le M23, affirmant que dialoguer avec ce groupe armé reviendrait à « légitimer ses actions illégales et à saper les principes fondamentaux » de l’État congolais.
Il a également déploré l’annulation du sommet tripartite de Luanda, prévu le 15 décembre 2024, en raison, selon lui, des nouvelles exigences posées par la délégation rwandaise, notamment une demande de dialogue direct entre la RDC et le M23.
« Exiger un dialogue direct avec un groupe terroriste revient à légitimer des agissements qui violent nos lois et principes fondamentaux », a-t-il martelé.
Appel à des sanctions contre le Rwanda
Félix Tshisekedi a salué les condamnations émises par certains États à l’encontre du Rwanda, mais il a estimé que ces prises de position restent insuffisantes face à la gravité de la situation. Il a appelé à des « sanctions concrètes et immédiates » contre Kigali afin de mettre fin à ce conflit et « d’éviter une escalade régionale ».
Le président a dénoncé « les conséquences humanitaires désastreuses » de la crise dans l’Est de la RDC. Il a condamné l’instauration par le M23 d’administrations parallèles dans les zones sous son contrôle, affirmant que ces actions s’inscrivent dans une stratégie visant à affaiblir l’autorité de l’État et à instaurer un système d’épuration ethnique.