
L’Alliance Fleuve Congo (AFC/M23) a vivement dénoncé la politique menée par le président congolais Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, l’accusant d’entretenir une logique de guerre au détriment d’un dialogue pacifique. Dans un communiqué officiel publié ce dimanche, le mouvement rebelle a pointé du doigt des « manœuvres internationales » visant à entraver les négociations en cours.
Selon le porte-parole du M23, Lawrence Kanyuka, « certaines institutions internationales s’emploient délibérément à saboter les efforts de paix en République Démocratique du Congo et à rendre impossibles les pourparlers tant attendus. » L’organisation estime que les sanctions imposées à ses membres, y compris celles annoncées à la veille des discussions prévues à Luanda, sont une tentative de museler leur voix et de compromettre le processus de paix.
Une Politique Belliciste Pointée du Doigt
Le M23 accuse directement le régime de Kinshasa de poursuivre une « campagne belliciste » contre leurs positions et des zones civiles. « Les forces coalisées du régime de Kinshasa poursuivent leur campagne belliciste à travers de multiples attaques au sol et des bombardements indiscriminés sur des zones densément peuplées ainsi que sur nos positions, utilisant des avions de chasse et des drones de combat de type CH-4. »
Dans ce climat de tension, l’Alliance Fleuve Congo affirme que toute tentative de négociation est désormais vouée à l’échec. « La tenue des pourparlers est devenue impossible. En conséquence, notre organisation ne peut plus poursuivre sa participation aux discussions. »
Ce communiqué survient alors que les efforts de médiation internationale peinent à aboutir à une solution durable au conflit dans l’est de la RDC. Kinshasa, de son côté, n’a pas encore réagi officiellement aux accusations formulées par le M23.
Selon le porte-parole du M23, Lawrence Kanyuka, « certaines institutions internationales s’emploient délibérément à saboter les efforts de paix en République Démocratique du Congo et à rendre impossibles les pourparlers tant attendus. » L’organisation estime que les sanctions imposées à ses membres, y compris celles annoncées à la veille des discussions prévues à Luanda, sont une tentative de museler leur voix et de compromettre le processus de paix.
Une Politique Belliciste Pointée du Doigt
Le M23 accuse directement le régime de Kinshasa de poursuivre une « campagne belliciste » contre leurs positions et des zones civiles. « Les forces coalisées du régime de Kinshasa poursuivent leur campagne belliciste à travers de multiples attaques au sol et des bombardements indiscriminés sur des zones densément peuplées ainsi que sur nos positions, utilisant des avions de chasse et des drones de combat de type CH-4. »
Dans ce climat de tension, l’Alliance Fleuve Congo affirme que toute tentative de négociation est désormais vouée à l’échec. « La tenue des pourparlers est devenue impossible. En conséquence, notre organisation ne peut plus poursuivre sa participation aux discussions. »
Ce communiqué survient alors que les efforts de médiation internationale peinent à aboutir à une solution durable au conflit dans l’est de la RDC. Kinshasa, de son côté, n’a pas encore réagi officiellement aux accusations formulées par le M23.