Le 11 décembre, les travailleurs de Radisson Diamniadio ont exprimé leur colère après la décision de la direction générale de licencier plus de vingt agents pour des raisons économiques, sans fournir de justification concrète pour cette mesure.
Selon le syndicat Yoor-Yoor, ces licenciements concernent principalement les employés du département de sécurité et les chauffeurs assurant la navette entre l’hôtel et l’aéroport. Le président des délégués du personnel a précisé que les travailleurs figurant sur la liste des licenciés sont en poste depuis la création de l’hôtel en 2017. Les employés réitèrent leur appel au gouvernement, qui a déjà impliqué le ministère du Travail dans cette affaire.
« Tous les employés de ce département n’ont pas été touchés, ce qui pour nous constitue une discrimination. Il est inacceptable de sécuriser certains employés tout en sacrifiant d’autres », a déclaré Omar Dia, président des délégués du personnel. Il a ajouté que bien que le Premier ministre Ousmane Sonko ait saisi le ministre du Travail, la situation demeure sans solution et des lenteurs persistent. Il dénonce l’atmosphère de mécontentement parmi le personnel, soulignant que lors d’une réunion récente, la direction a annoncé d’autres licenciements imminents. « Nous appelons l'État, en particulier le Premier ministre, à intervenir rapidement pour mettre fin à cette injustice », a-t-il ajouté.
Les syndicalistes dénoncent également les menaces proférées par la direction, qui, malgré les licenciements, continue de maltraiter le personnel.
Selon le syndicat Yoor-Yoor, ces licenciements concernent principalement les employés du département de sécurité et les chauffeurs assurant la navette entre l’hôtel et l’aéroport. Le président des délégués du personnel a précisé que les travailleurs figurant sur la liste des licenciés sont en poste depuis la création de l’hôtel en 2017. Les employés réitèrent leur appel au gouvernement, qui a déjà impliqué le ministère du Travail dans cette affaire.
« Tous les employés de ce département n’ont pas été touchés, ce qui pour nous constitue une discrimination. Il est inacceptable de sécuriser certains employés tout en sacrifiant d’autres », a déclaré Omar Dia, président des délégués du personnel. Il a ajouté que bien que le Premier ministre Ousmane Sonko ait saisi le ministre du Travail, la situation demeure sans solution et des lenteurs persistent. Il dénonce l’atmosphère de mécontentement parmi le personnel, soulignant que lors d’une réunion récente, la direction a annoncé d’autres licenciements imminents. « Nous appelons l'État, en particulier le Premier ministre, à intervenir rapidement pour mettre fin à cette injustice », a-t-il ajouté.
Les syndicalistes dénoncent également les menaces proférées par la direction, qui, malgré les licenciements, continue de maltraiter le personnel.