La jeunesse africaine était au coeur du discours prononcé par le président français Emmanuel Macron mardi 28 novembre à Ouagadougou. « Burkina Fiasco » pour les uns, espoirs de sortir du franc CFA pour les autres, les réactions sont mitigées.
Les réactions sont très variées sur Twitter, comme l'on peut s'en douter. Une internaute, Olivia Nlogo, insiste sur le fait que la jeunesse était « davantage dans la rue que dans cet amphithéâtre » où Emmanuel Macron s'est exprimé.
Dans une vidéo, un Burkinabé dit son ras-le-bol de la politique « france-africaine » et il ajoute : « s'il y a un défi qu'Emmanuel Macron doit relever, c'est de nous faire sortir du franc CFA ».
Un avis que ne partage par forcément Gbadé, un internaute guinéen. « Les Africains pensent que leur malheur se trouve dans le franc CFA. Plusieurs pays africains n'ont pas le CFA et sont plus pauvres ».
Autre chose qui fait particulièrement réagir les internautes, c'est ce moment où Emmanuel Macron explique que ce n'est pas à lui de s'occuper de l'électricité dans les universités burkinabè. Au même moment, le président burkinabè Roch Marc Christian Kaboré quitte la salle. Commentaire humoristique du président français : « Il est parti réparer la climatisation ».
Les réactions sont très variées sur Twitter, comme l'on peut s'en douter. Une internaute, Olivia Nlogo, insiste sur le fait que la jeunesse était « davantage dans la rue que dans cet amphithéâtre » où Emmanuel Macron s'est exprimé.
Dans une vidéo, un Burkinabé dit son ras-le-bol de la politique « france-africaine » et il ajoute : « s'il y a un défi qu'Emmanuel Macron doit relever, c'est de nous faire sortir du franc CFA ».
Un avis que ne partage par forcément Gbadé, un internaute guinéen. « Les Africains pensent que leur malheur se trouve dans le franc CFA. Plusieurs pays africains n'ont pas le CFA et sont plus pauvres ».
Autre chose qui fait particulièrement réagir les internautes, c'est ce moment où Emmanuel Macron explique que ce n'est pas à lui de s'occuper de l'électricité dans les universités burkinabè. Au même moment, le président burkinabè Roch Marc Christian Kaboré quitte la salle. Commentaire humoristique du président français : « Il est parti réparer la climatisation ».
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});