Le Bureau National du M23 réuni en séance extraordinaire à son siège a pris acte et vivement regretté la décision prise par le Président de la République de ne pas matérialiser son engagement à réduire le mandat en cours de sept à cinq ans.
Aussi, pour le M23, une révision de la constitution, en 2016, doit se faire en considération des sacrifices consentis par les populations et de leurs aspirations à une gouvernance politique autre que celle qui a prévalu de 1962 à 2012. Elle doit également beaucoup tenir compte des conclusions de la CNRI qui a bénéficié des ressources du contribuable et de la diligence de personnalités compétentes.
C’est pourquoi le M23, qui travaille depuis plus d’un an à créer les conditions d’un consensus large pour des réformes consolidantes, considère que la tenue d’un référendum à la date du 20 mars ne permet pas les concertations nécessaires et encore moins l’indispensable appropriation par les citoyens des changements à introduire dans la Constitution.
Considérant la gravité et la solennité de la révision de la charte fondamentale qui nous constitue en tant que nation et peuple, le M23 demande au Président de la République d’accepter de reporter la date du Référendum et de donner ainsi des chances à la tenue de concertations fécondes sur le contenu à donner à la révision constitutionnelle. L’organisation du scrutin référendaire pourrait alors se faire à une date favorisant la baisse du budget au bénéfice du contribuable sénégalais.
Le M23 invite les autorités politiques à l’introspection et au dépassement et demande à tous les citoyens qui adhérent à cette proposition de report du référendum de se joindre à sa voix et à sa démarche pour des révisions constitutionnelles consensuelles et consolidantes.
Aussi, pour le M23, une révision de la constitution, en 2016, doit se faire en considération des sacrifices consentis par les populations et de leurs aspirations à une gouvernance politique autre que celle qui a prévalu de 1962 à 2012. Elle doit également beaucoup tenir compte des conclusions de la CNRI qui a bénéficié des ressources du contribuable et de la diligence de personnalités compétentes.
C’est pourquoi le M23, qui travaille depuis plus d’un an à créer les conditions d’un consensus large pour des réformes consolidantes, considère que la tenue d’un référendum à la date du 20 mars ne permet pas les concertations nécessaires et encore moins l’indispensable appropriation par les citoyens des changements à introduire dans la Constitution.
Considérant la gravité et la solennité de la révision de la charte fondamentale qui nous constitue en tant que nation et peuple, le M23 demande au Président de la République d’accepter de reporter la date du Référendum et de donner ainsi des chances à la tenue de concertations fécondes sur le contenu à donner à la révision constitutionnelle. L’organisation du scrutin référendaire pourrait alors se faire à une date favorisant la baisse du budget au bénéfice du contribuable sénégalais.
Le M23 invite les autorités politiques à l’introspection et au dépassement et demande à tous les citoyens qui adhérent à cette proposition de report du référendum de se joindre à sa voix et à sa démarche pour des révisions constitutionnelles consensuelles et consolidantes.