Depuis plusieurs mois, des différends liés à des mesures administratives, telles que les questions fiscales, les ruptures de conventions ou encore l’enregistrement des médias sur une nouvelle plateforme, ont exacerbé les relations entre la presse et les autorités publiques. Certains observateurs n’hésitent pas à parler de « conflit larvé » ou de « guerre ouverte ». Dans une démocratie aussi ancrée que celle du Sénégal, qui a récemment confirmé sa stabilité lors des scrutins de mars et novembre 2024, il est impératif de privilégier la concertation. L’objectif est clair : « préserver les acquis démocratiques et favoriser une coopération constructive entre les différentes parties. »
Naissance du CPDSM C’est dans cet esprit que le CPDSM a vu le jour, à l’initiative de la Maison de la Presse Babacar Touré. Ce nouveau cadre a été officiellement lancé lors d’une réunion tenue le 19 décembre 2024, en présence des principaux acteurs du secteur des médias, ainsi que des organes de régulation et de communication de l’État.
Le CPDSM s’appuie sur les recommandations des Assises de la Presse, en vue de « renforcer la concertation et d’instaurer un dialogue permanent de qualité entre la presse et les pouvoirs publics. »
Missions et objectifs du CPDSM Le CPDSM se fixe plusieurs missions prioritaires : « Apaiser les tensions entre l’État et les acteurs des médias. » « Offrir un espace de médiation pour résoudre les conflits existants. » « Promouvoir un dialogue permanent pour prévenir de futures crises. » « Faciliter la résolution des différends au sein des entreprises de presse ou entre celles-ci et l’État. » « Encourager un climat favorable au développement du secteur des médias. »
Gouvernance et portée M. Sambou Biyagui, Directeur général de la Maison de la Presse, a été désigné pour diriger le CPDSM. Son initiative, unanimement saluée, témoigne de l’engagement des acteurs à trouver des solutions durables.
« Le CPDSM ne remplace pas les organisations existantes, telles que le Synpics, mais agit en complément, notamment pour pacifier les relations entre les employeurs (patrons de presse) et les employés (journalistes). »
Une initiative largement soutenue La réunion inaugurale, présidée par Mamadou Omar Ndiaye, Président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA), a rassemblé plusieurs figures influentes, dont : Momar Diongue, Directeur général de l’APS. Mamadou Ndiaye, Directeur du CESTI. Pape Sakho Jimbira, ministre coordonnateur de la communication à la présidence de la République. Mame Goor Ngom, Directeur général de Big.Gouv. Pape Mady Diop, représentant du Directeur général de la RTS. Cette initiative marque une avancée significative dans la quête d’un dialogue apaisé et constructif entre l’État et la presse, pour « un développement harmonieux du Sénégal. »
Naissance du CPDSM C’est dans cet esprit que le CPDSM a vu le jour, à l’initiative de la Maison de la Presse Babacar Touré. Ce nouveau cadre a été officiellement lancé lors d’une réunion tenue le 19 décembre 2024, en présence des principaux acteurs du secteur des médias, ainsi que des organes de régulation et de communication de l’État.
Le CPDSM s’appuie sur les recommandations des Assises de la Presse, en vue de « renforcer la concertation et d’instaurer un dialogue permanent de qualité entre la presse et les pouvoirs publics. »
Missions et objectifs du CPDSM Le CPDSM se fixe plusieurs missions prioritaires : « Apaiser les tensions entre l’État et les acteurs des médias. » « Offrir un espace de médiation pour résoudre les conflits existants. » « Promouvoir un dialogue permanent pour prévenir de futures crises. » « Faciliter la résolution des différends au sein des entreprises de presse ou entre celles-ci et l’État. » « Encourager un climat favorable au développement du secteur des médias. »
Gouvernance et portée M. Sambou Biyagui, Directeur général de la Maison de la Presse, a été désigné pour diriger le CPDSM. Son initiative, unanimement saluée, témoigne de l’engagement des acteurs à trouver des solutions durables.
« Le CPDSM ne remplace pas les organisations existantes, telles que le Synpics, mais agit en complément, notamment pour pacifier les relations entre les employeurs (patrons de presse) et les employés (journalistes). »
Une initiative largement soutenue La réunion inaugurale, présidée par Mamadou Omar Ndiaye, Président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA), a rassemblé plusieurs figures influentes, dont : Momar Diongue, Directeur général de l’APS. Mamadou Ndiaye, Directeur du CESTI. Pape Sakho Jimbira, ministre coordonnateur de la communication à la présidence de la République. Mame Goor Ngom, Directeur général de Big.Gouv. Pape Mady Diop, représentant du Directeur général de la RTS. Cette initiative marque une avancée significative dans la quête d’un dialogue apaisé et constructif entre l’État et la presse, pour « un développement harmonieux du Sénégal. »