Fermée depuis le 27 novembre dernier à la suite de violents affrontements entre étudiants et policiers, ayant fait plusieurs blessés, l’Université Assane Seck de Ziguinchor a annoncé hier, dans un communiqué, la reprise des cours à compter du 6 janvier 2024, après un conseil académique visant à évaluer l’évolution de la situation et garantir la continuité des activités pédagogiques. Plusieurs décisions ont été prises dans ce cadre.
Sans tarder, la coordination des étudiants de l'université a tenu une conférence de presse pour fustiger la décision du recteur concernant la mise en place d'une session unique, qu'ils jugent dénuée de logique et qualifient de « décision dictatoriale ».
"Malheureusement, les décisions prises hier sont arbitraires. Après la fermeture de l’université, nous attendions que l’administration résolve définitivement nos préoccupations, mais elle revient pour nous imposer une section unique. Cette décision du recteur est véritablement antidémocratique", a déploré leur porte-parole, Khadim Diène.
Lors de leur rencontre avec la presse, la coordination a réaffirmé sa détermination à poursuivre sa lutte jusqu'à l'obtention de réponses à ses revendications légitimes."Nous ne demandons pas la lune. Nous exigeons, comme hier, de meilleures conditions sociales et d'études", a précisé Khadim Diène.
Sans tarder, la coordination des étudiants de l'université a tenu une conférence de presse pour fustiger la décision du recteur concernant la mise en place d'une session unique, qu'ils jugent dénuée de logique et qualifient de « décision dictatoriale ».
"Malheureusement, les décisions prises hier sont arbitraires. Après la fermeture de l’université, nous attendions que l’administration résolve définitivement nos préoccupations, mais elle revient pour nous imposer une section unique. Cette décision du recteur est véritablement antidémocratique", a déploré leur porte-parole, Khadim Diène.
Lors de leur rencontre avec la presse, la coordination a réaffirmé sa détermination à poursuivre sa lutte jusqu'à l'obtention de réponses à ses revendications légitimes."Nous ne demandons pas la lune. Nous exigeons, comme hier, de meilleures conditions sociales et d'études", a précisé Khadim Diène.