Le député Mamadou Lamine Diallo a fait une grosse révélation sur les 7356 milliards amassés par le Sénégal au dernier Groupe consultatif de Paris. Cet argent, selon le président de Tekki, c’est l’équivalent de 300 francs CFA par habitant par jour. Les décaissements qui en résultent et qui profitent au pays reviennent à 5% des annonces, au finish 15 francs par Sénégalais.
Si le régime Apr jubile après avoir obtenu une promesse de financement de 7356 milliards pour la phase II du Pse, cette manne financière n’emballe point le député candidat à la prochaine présidentielle, et pour cause. D’après Mamadou Lamine Diallo, «après le Xawaré du groupe consultatif, l’ajustement structurel commence en 2019. Il explique : «les annonces du Groupe consultatif ne sont pas des engagements de financements. C’est un défaut de coordination qui a conduit à ces annonces sans fondement qui multiplient par trois le gap de financement. Les ajustements entre bailleurs se feront lors des engagements qui donnent lieu à des conventions juridiques de financements. »
« La mobilisation des recettes budgétaires est le véritable problème macroéconomique du Sénégal. C’est pourquoi la Banque mondiale annonce un appui budgétaire de 104 milliards au Trésor sénégalais, c’est cela le début de l’ajustement structurel que j’avais annoncé, du cash contre des réformes imposées au peuple. »
Et Mamadou Lamine Diallo de poursuivre: « il est bon de savoir que l’Afrique, piégée dans la pauvreté, est divisée en deux : les pays à table ronde du PNUD et les pays à groupe consultatif de la Banque mondiale. Le Sénégal fait partie du second (…) » A l’en croire, «Macky Sall cherchait un coup de pouce politique, les partenaires ont envoyé un signal flou : gonfler les annonces de contribution et ne pas envoyer leurs entreprises au forum du secteur privé.»
Et pis, dit-il, ces annonces, c’est l’équivalent de 300 francs CFA par habitant par jour. Or, les décaissements qui en résultent et qui profitent au pays reviennent à 5% des annonces, au finish 15 francs par Sénégalais. Le jour où les Occidentaux croiront à l‘économie sénégalaise, ils enverront leurs entreprises participer à l’industrialisation du pays.
Si le régime Apr jubile après avoir obtenu une promesse de financement de 7356 milliards pour la phase II du Pse, cette manne financière n’emballe point le député candidat à la prochaine présidentielle, et pour cause. D’après Mamadou Lamine Diallo, «après le Xawaré du groupe consultatif, l’ajustement structurel commence en 2019. Il explique : «les annonces du Groupe consultatif ne sont pas des engagements de financements. C’est un défaut de coordination qui a conduit à ces annonces sans fondement qui multiplient par trois le gap de financement. Les ajustements entre bailleurs se feront lors des engagements qui donnent lieu à des conventions juridiques de financements. »
« La mobilisation des recettes budgétaires est le véritable problème macroéconomique du Sénégal. C’est pourquoi la Banque mondiale annonce un appui budgétaire de 104 milliards au Trésor sénégalais, c’est cela le début de l’ajustement structurel que j’avais annoncé, du cash contre des réformes imposées au peuple. »
Et Mamadou Lamine Diallo de poursuivre: « il est bon de savoir que l’Afrique, piégée dans la pauvreté, est divisée en deux : les pays à table ronde du PNUD et les pays à groupe consultatif de la Banque mondiale. Le Sénégal fait partie du second (…) » A l’en croire, «Macky Sall cherchait un coup de pouce politique, les partenaires ont envoyé un signal flou : gonfler les annonces de contribution et ne pas envoyer leurs entreprises au forum du secteur privé.»
Et pis, dit-il, ces annonces, c’est l’équivalent de 300 francs CFA par habitant par jour. Or, les décaissements qui en résultent et qui profitent au pays reviennent à 5% des annonces, au finish 15 francs par Sénégalais. Le jour où les Occidentaux croiront à l‘économie sénégalaise, ils enverront leurs entreprises participer à l’industrialisation du pays.