Pour amener la junte à un retour rapide à l'ordre constitutionnel, les pays ouest-africains réunis en sommet à Accra ont pris des sanctions économiques et financières très dures qui s'ajoutent aux précédentes.
La Cédéo a ainsi décidé de geler les avoirs maliens au sein de la Banque centrale des États d'Afrique de l'Ouest (BCEAO), de couper les aides financières, de fermer les frontières entre le Mali et les États membres de l'organisation, mais aussi de suspendre les transactions avec Bamako, à l'exception des produits médicaux et de première nécessité, les produits pétroliers et l'électricité, le gel des actifs et des avoirs de la République du Mali dans toutes les banques centrales des pays membres de la Cédéao, du gel des avoirs du gouvernement et des entreprises d'États maliens dans toutes les banques commerciales de la Cédéao.
La Cédéao a décidé par ailleurs le retrait des ambassadeurs de tous les pays membres au Mali, rapporte notre envoyé spécial à Accra, Peter Sassou Dogbé.
Enfin, les dirigeants décident d'activer immédiatement la force en attente de l'organisation, compte tenu de « l'impact potentiellement déstabilisateur de la transition malienne sur la région ».
La Cédéo a ainsi décidé de geler les avoirs maliens au sein de la Banque centrale des États d'Afrique de l'Ouest (BCEAO), de couper les aides financières, de fermer les frontières entre le Mali et les États membres de l'organisation, mais aussi de suspendre les transactions avec Bamako, à l'exception des produits médicaux et de première nécessité, les produits pétroliers et l'électricité, le gel des actifs et des avoirs de la République du Mali dans toutes les banques centrales des pays membres de la Cédéao, du gel des avoirs du gouvernement et des entreprises d'États maliens dans toutes les banques commerciales de la Cédéao.
La Cédéao a décidé par ailleurs le retrait des ambassadeurs de tous les pays membres au Mali, rapporte notre envoyé spécial à Accra, Peter Sassou Dogbé.
Enfin, les dirigeants décident d'activer immédiatement la force en attente de l'organisation, compte tenu de « l'impact potentiellement déstabilisateur de la transition malienne sur la région ».