N. Diome, cultivateur de son état et père de huit (8) enfants, a été envoyé en prison. Le sexagénaire, notable au village de Diolofira, dans le département de Mbour, est accusé d’avoir violé et engrossé sa petite fille, T. Mbodj, âgée de 13 ans, et élève en classe de Cm2.
Les faits remontent à la date du lundi 22 janvier dernier, révèle L’Observateur du jour. D’après le récit du journal, la dame, M. Diome, qui a rejoint son mari au village de Mbellacadiao, décide de rendre visite aux siens notamment à sa fille qu’elle a confiée à ses grands-parents établis au village de Diolofira. Où la maman tombe des nues en découvrant que le ventre arrondi de sa fille. Celle-ci était en état de grossesse très avancé.
Décidée à tirer cette affaire au clair, M. Diome soumet T. Mbodj à un interrogatoire serré. L’adolescente craque et dénonce son grand-père, expliquant que son présumé violeur profitait des absences de sa grand-mère pour abuser d’elle.
Atterrée par le récit de sa fille, la maman évite de confondre son père. Mais, elle saisira, dès le lendemain, les gendarmes de Joal d’une plainte pour viol suivi de grossesse.
Lors de l’enquête, l’examen gynécologique atteste « une défloraison ancienne de l’hymen suivie d’une grossesse vieille de 6 mois ».
Cueilli, le mis en cause, âgé de 67 ans, se livre des révélations fracassantes. D’abord, il confesse aux enquêteurs avoir entretenu à « plusieurs reprises » des rapportés sexuels avec sa petite fille. Ensuite, il s’est empressé de préciser que celle-ci était consentante, indiquant qu’après chaque rapport T. Mbodj lui demandait « s’il assumerait sa responsabilité si jamais elle tombait enceinte. »
Enfin, le sexagénaire est allé jusqu’à réclamer la paternité de cette grossesse.
Une version battue en brèche par sa petite fille. Qui jure que son bourreau menaçait de « la tabasser si elle en pipait mot à sa grand-mère. » A l’en croire, son grand-père avait fini par la transformer en objet sexuel.
Déféré jeudi, l’accusé a été inculpé et placé sous mandat de dépôt.
Les faits remontent à la date du lundi 22 janvier dernier, révèle L’Observateur du jour. D’après le récit du journal, la dame, M. Diome, qui a rejoint son mari au village de Mbellacadiao, décide de rendre visite aux siens notamment à sa fille qu’elle a confiée à ses grands-parents établis au village de Diolofira. Où la maman tombe des nues en découvrant que le ventre arrondi de sa fille. Celle-ci était en état de grossesse très avancé.
Décidée à tirer cette affaire au clair, M. Diome soumet T. Mbodj à un interrogatoire serré. L’adolescente craque et dénonce son grand-père, expliquant que son présumé violeur profitait des absences de sa grand-mère pour abuser d’elle.
Atterrée par le récit de sa fille, la maman évite de confondre son père. Mais, elle saisira, dès le lendemain, les gendarmes de Joal d’une plainte pour viol suivi de grossesse.
Lors de l’enquête, l’examen gynécologique atteste « une défloraison ancienne de l’hymen suivie d’une grossesse vieille de 6 mois ».
Cueilli, le mis en cause, âgé de 67 ans, se livre des révélations fracassantes. D’abord, il confesse aux enquêteurs avoir entretenu à « plusieurs reprises » des rapportés sexuels avec sa petite fille. Ensuite, il s’est empressé de préciser que celle-ci était consentante, indiquant qu’après chaque rapport T. Mbodj lui demandait « s’il assumerait sa responsabilité si jamais elle tombait enceinte. »
Enfin, le sexagénaire est allé jusqu’à réclamer la paternité de cette grossesse.
Une version battue en brèche par sa petite fille. Qui jure que son bourreau menaçait de « la tabasser si elle en pipait mot à sa grand-mère. » A l’en croire, son grand-père avait fini par la transformer en objet sexuel.
Déféré jeudi, l’accusé a été inculpé et placé sous mandat de dépôt.