Le ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Ousmane Diagne, a répondu aux questions des députés ce samedi 14 décembre, lors de la session ordinaire dédiée à l'examen des projets de loi portant révision de la Constitution. Parmi les points abordés figuraient la suppression du Conseil économique, social et environnemental (CESE) et du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT), ainsi que des interrogations concernant l’administration pénitentiaire et les conditions de détention.
En réponse aux préoccupations soulevées, le ministre a précisé les projets en cours dans le secteur carcéral. « Actuellement, nous avons un projet de construction de 9 nouvelles prisons. En tant que militant des droits de l'homme, je considère qu’une société démocratique, lorsqu'elle envoie certains de ses membres en prison pour des raisons justifiées, a la responsabilité de leur garantir des conditions de détention dignes », a-t-il déclaré.
Parmi ces projets, il a mentionné « la construction d'une prison de 2 500 places à Diamniadio et d’une autre de 500 places à Fatick ». Ces infrastructures visent à désengorger les établissements pénitentiaires existants et à améliorer les conditions de vie des détenus.
Le ministre a également évoqué une hausse de l’indemnité journalière allouée aux prisonniers. « Jusqu’à présent, cette indemnité était de 1 152 francs CFA par jour et par détenu. Dans le cadre du projet de loi de finances 2025, cette somme sera portée à 1 300 francs CFA », a-t-il précisé, soulignant qu'il s'agit d'une mesure progressive pour améliorer les conditions de détention.
En ce qui concerne le fonctionnement judiciaire, il a rappelé l’installation récente du tribunal de grande instance de Kaffrine, inauguré le 24 octobre dernier. « Ce n’est plus un simple tribunal d’instance, mais bien un tribunal de grande instance, avec toutes les implications que cela comporte. Nous nous efforçons de répondre aux attentes et de résoudre les problématiques soulevées », a-t-il conclu.
En réponse aux préoccupations soulevées, le ministre a précisé les projets en cours dans le secteur carcéral. « Actuellement, nous avons un projet de construction de 9 nouvelles prisons. En tant que militant des droits de l'homme, je considère qu’une société démocratique, lorsqu'elle envoie certains de ses membres en prison pour des raisons justifiées, a la responsabilité de leur garantir des conditions de détention dignes », a-t-il déclaré.
Parmi ces projets, il a mentionné « la construction d'une prison de 2 500 places à Diamniadio et d’une autre de 500 places à Fatick ». Ces infrastructures visent à désengorger les établissements pénitentiaires existants et à améliorer les conditions de vie des détenus.
Le ministre a également évoqué une hausse de l’indemnité journalière allouée aux prisonniers. « Jusqu’à présent, cette indemnité était de 1 152 francs CFA par jour et par détenu. Dans le cadre du projet de loi de finances 2025, cette somme sera portée à 1 300 francs CFA », a-t-il précisé, soulignant qu'il s'agit d'une mesure progressive pour améliorer les conditions de détention.
En ce qui concerne le fonctionnement judiciaire, il a rappelé l’installation récente du tribunal de grande instance de Kaffrine, inauguré le 24 octobre dernier. « Ce n’est plus un simple tribunal d’instance, mais bien un tribunal de grande instance, avec toutes les implications que cela comporte. Nous nous efforçons de répondre aux attentes et de résoudre les problématiques soulevées », a-t-il conclu.