Dans une récente sortie, Adji Mergane Kanouté, députée et vice-présidente du groupe parlementaire Benno Bok Yakaar, a levé le voile sur une nouvelle directive émanant des autorités sénégalaises. Selon ses dires, les ministres sortants, fraîchement remplacés lors des passations de service, se voient désormais privés de l'usage de leur passeport diplomatique.
Cette décision, explique-t-elle, repose sur l'argument selon lequel le passeport diplomatique est étroitement lié à la fonction occupée. La députée, anciennement affiliée à la mouvance présidentielle, révèle avoir été elle-même touchée par cette mesure. "Toutefois, en tant que parlementaire en exercice, elle a pu récupérer son passeport diplomatique après vérification."
Adji Mergane Kanouté exprime son mécontentement face à ce qu'elle perçoit comme un manque d'élégance de la part des nouvelles autorités. Elle souligne que les anciens ministres sont des citoyens sénégalais, et que le passeport diplomatique n'est qu'un outil facilitant les déplacements, non un luxe superflu. Elle insiste sur le fait que la confiscation ou la suspension de ce document ne devrait pas empêcher les anciens ministres ou députés de voyager paisiblement avec un passeport ordinaire.
Cette révélation soulève des questions sur la relation entre les anciens membres du gouvernement et les nouvelles autorités, mettant en lumière des tensions potentielles au sein de la sphère politique sénégalaise. "Alors que le pays traverse une période de transition politique, il semble que des ajustements et des clarifications soient nécessaires pour assurer un processus de passation de pouvoir harmonieux et respectueux."
Cette décision, explique-t-elle, repose sur l'argument selon lequel le passeport diplomatique est étroitement lié à la fonction occupée. La députée, anciennement affiliée à la mouvance présidentielle, révèle avoir été elle-même touchée par cette mesure. "Toutefois, en tant que parlementaire en exercice, elle a pu récupérer son passeport diplomatique après vérification."
Adji Mergane Kanouté exprime son mécontentement face à ce qu'elle perçoit comme un manque d'élégance de la part des nouvelles autorités. Elle souligne que les anciens ministres sont des citoyens sénégalais, et que le passeport diplomatique n'est qu'un outil facilitant les déplacements, non un luxe superflu. Elle insiste sur le fait que la confiscation ou la suspension de ce document ne devrait pas empêcher les anciens ministres ou députés de voyager paisiblement avec un passeport ordinaire.
Cette révélation soulève des questions sur la relation entre les anciens membres du gouvernement et les nouvelles autorités, mettant en lumière des tensions potentielles au sein de la sphère politique sénégalaise. "Alors que le pays traverse une période de transition politique, il semble que des ajustements et des clarifications soient nécessaires pour assurer un processus de passation de pouvoir harmonieux et respectueux."