Le 16 janvier, les États-Unis ont imposé des sanctions contre le général Abdel Fattah al-Burhan, chef de l'armée soudanaise, quelques jours après des mesures similaires contre le commandant des Forces de soutien rapide (FSR), Mohamed Hamdan Daglo. Ces sanctions reflètent, selon le secrétaire d'État Antony Blinken, la responsabilité des deux parties dans les atrocités, notamment des attaques contre des civils et l'utilisation de la privation de nourriture comme arme de guerre.
Depuis avril 2023, le Soudan est ravagé par un conflit entre l'armée et les FSR, qui a causé des dizaines de milliers de morts et déplacé plus de 11 millions de personnes. Antony Blinken, regrettant l'échec des efforts de médiation américaine, a exprimé l'espoir que l'administration Biden, sur le point de céder la place à celle de Donald Trump, poursuive ces efforts.
Les sanctions, qui incluent également des mesures contre un fournisseur d'armes et une société basée à Hong Kong, ont été dénoncées par le gouvernement soudanais comme « immorales » et injustifiées. Celui-ci soutient que le général al-Burhan protège le peuple contre un « complot génocidaire » orchestré par les FSR.
Depuis avril 2023, le Soudan est ravagé par un conflit entre l'armée et les FSR, qui a causé des dizaines de milliers de morts et déplacé plus de 11 millions de personnes. Antony Blinken, regrettant l'échec des efforts de médiation américaine, a exprimé l'espoir que l'administration Biden, sur le point de céder la place à celle de Donald Trump, poursuive ces efforts.
Les sanctions, qui incluent également des mesures contre un fournisseur d'armes et une société basée à Hong Kong, ont été dénoncées par le gouvernement soudanais comme « immorales » et injustifiées. Celui-ci soutient que le général al-Burhan protège le peuple contre un « complot génocidaire » orchestré par les FSR.