Le dictateur soudanais déchu Omar el-Béchir est «toujours dans un hôpital sous la garde de la police judiciaire», a annoncé mercredi l'armée, après qu'un de ses lieutenants, recherché par la Cour pénale internationale (CPI) a annoncé s'être évadé avec d'autres. L'armée assure que quatre autres «militaires accusés pour le 30 juin», le coup d'État d'el-Béchir en 1989, se trouvent également «à l'hôpital Alia des forces armées» depuis «avant le début» des combats le 15 avril entre les deux généraux au pouvoir à Khartoum.