Basé le pays Filippo Inzaghi, Souleymane Hann qui se dit « infatigable serviteur de l’APR », appelle ses camarades à revoir leur posture par rapport au débat sur l’organisation des élections confiée au ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique.
"Mes chers amis, nous avions tous dit non à M. Ousmane Ngom parce qu’il était partisan du Pds pourquoi dire aujourd’hui oui à M. Aly Ngouille Ndiaye parce qu’il est un camarade ? Non mes chers, aujourd’hui nous sommes sûr du bilan de notre candidat, nous savons qu’il a beaucoup fait pour l’amélioration des conditions de vie des Sénégalais alors pourquoi s’attarder sur des détails ? », s’interroge le sieur Hanne qui estime qu’en tant que patriote, l’APR doit soutenir l’opposition sur un choix d’un ministre neutre chargée des élections pour garantir la transparence et la bonne organisation des élections comme ils l’avaient exigé à Me Wade en 2011.
En effet, le Président Macky Sall, alors candidat à l’élection présidentielle, était contre le fait que Me Ousmane Ngom, ministre de l’Intérieur à l’époque, soit chargé des élections. Aujourd’hui qu’il est au pouvoir et qu’il a la possibilité de changer la donne et du coup rendre le processus plus transparent, il reste sourd aux revendications de l’opposition qui réclame la même chose que lui en 2011. Pourtant, c’est justement le fait qu’il campe sur sa position qui le rend suspect aux yeux de ses détracteurs."
"Mes chers amis, nous avions tous dit non à M. Ousmane Ngom parce qu’il était partisan du Pds pourquoi dire aujourd’hui oui à M. Aly Ngouille Ndiaye parce qu’il est un camarade ? Non mes chers, aujourd’hui nous sommes sûr du bilan de notre candidat, nous savons qu’il a beaucoup fait pour l’amélioration des conditions de vie des Sénégalais alors pourquoi s’attarder sur des détails ? », s’interroge le sieur Hanne qui estime qu’en tant que patriote, l’APR doit soutenir l’opposition sur un choix d’un ministre neutre chargée des élections pour garantir la transparence et la bonne organisation des élections comme ils l’avaient exigé à Me Wade en 2011.
En effet, le Président Macky Sall, alors candidat à l’élection présidentielle, était contre le fait que Me Ousmane Ngom, ministre de l’Intérieur à l’époque, soit chargé des élections. Aujourd’hui qu’il est au pouvoir et qu’il a la possibilité de changer la donne et du coup rendre le processus plus transparent, il reste sourd aux revendications de l’opposition qui réclame la même chose que lui en 2011. Pourtant, c’est justement le fait qu’il campe sur sa position qui le rend suspect aux yeux de ses détracteurs."